MARIE-CLAUDE CHAPPUIS
Mezzo-Soprano

PRESSE ARCHIVE

Hedwige in Guillaume Tell Theater an der Wien, Oktober 2018
«Marie-Claude Chappuis’ Hedwige was sung with finesse, and exuded a natural grace and elegance» www.theoperacritic.com

«Marie-Claude Chappuis überzeugt in jeder Hinsicht als Hedwige, Tells Frau» www.news.at

«Auch die Schweizerin Marie-Claude Chappuis weiß ihren dramatischen Mezzo überzeugend einzusetzen und überstrahlt als Hedwige ihren Gatten Guillaume Tell.» klassik-begeistert.de

Maragond in Fierrabras, Scala di Milano Giune 2018
«Elegante e musicalissima la Maragond di Marie-Claude Chappuis» www.gbopera.it

«struggente in sensualità il duetto con Maragond di Marie-Claude Chappuis.» www.milanoreporter.it

«Dorothea Röschmann come Florinda e una vellutata Marie-Claude Chappuis come Maragond.» www.apemusicale.it

Berlioz „Les Nuits d'été“
mit dem Freiburger Kammerorchester unter Laurent Gendre
'...In den sechs Melodien des Zyklus «Les nuits d’été» von Hector Berlioz erwies sich die Solistin als stilsichere Interpretin und bot Gesangskunst vom Feinsten. Mit empfindsamem, variablem Ausdruck gestaltete sie die sechs Melodien ganz unterschiedlich: mal sehnsuchtsvoll und traurig, mal humorvoll, dann wiederum aufbäumend, fordernd, dramatisch. In ihrem königsblauen, schulterlosen Kleid sorgte sie ausserdem für Glamour...'
(Freiburger Nachrichten, Feb. 2017)
  Villanelle

OPERA DE RENNES LA FINTA GIARDINIERA, Mai/Juin 2016
Opéra en trois actes, livret de Giuseppe Petrosellini (1775)

„ Marie-Claude Chappuis… en Ramiro est juste merveilleuse, se révélant comme la plus mozartienne de toutes les cantatrices présentes. Elle nous entraîne dans l’univers de son personnage, avec la compréhension, l’exactitude et la sobre beauté qu’exigent les airs de Mozart. “
Unidivers.fr

„ ...mentre Don Ramiro è una magnifica Marie-Claude Chappuis, dalla voce calda ed espressiva. “
www.apemusicale.it

Pressestimmen zur Mozart-Requiem-Tournee und Haydn Harmonie Messe
mit René Jacobs


„… Allein der Beginn des „Lacrimosa“ mit seinem wirkungsvoll gesetzten großen Crescendo ist ganz aus dem Klang heraus gedacht. Die wunderbaren Solisten (Sophie Karthäuser, Marie-Claude Chappuis, Maximilian Schmitt, Johannes Weisser) tragen das mit, das wache Freiburger Barockorchester ebenfalls…“ (Stuttgarter Zeitung)

„… Darüber hinaus wurde man Zeuge einer hochkarätigen Auslegung, in die sich das – sinnvoll – zwischen Chor und Orchester positionierte, ausgewogene Solistenquartett nahtlos einfügte…“
(Badische Zeitung)

„… Die Solisten Sophie Karthäuser, Marie-Claude Chappuis, Maximilian Schmitt und Johannes Weisser fügen sich mit vier charismatischen Stimmen organisch ein und klingen, wo es sein soll, glanzvoll durch…“ (hundert11.wordpress.com)

„… Beim 2. Paar gesellt sich zum warmen Tenor von Maximilian Schmitt der ungemein strahlende und ausdrucksstarke Mezzo von Marie-Claude Chappuis…“ (der-neue-merker.eu)

„… Sopran (Sophie Karthäuser) und Alt (Marie-Claude Chappuis), die haben da einen Jubel angestimmt - das war garantiert nicht gespielt, weil es einfach halt in den Noten steht, sondern das war pure Euphorie…“ (Kulturradio rbb)

In der NZZ vom 01.11.2016 über ' Die Junge Magd'
'Eine grossartige Leistung gelingt Marie-Claude Chappuis mit Hinde­miths Zy­klus «Die junge Magd» nach Ge­dich­ten von Georg Trakl. Was für eine aufgeladene Atmosphäre zwischen erotischem Glühen und elen­dem Sterben wird da auch in der Instrumentalschicht von Flöte, Klarinette und Streich­quar­tett beschworen!'
Und über Erlkönig in einer Fassung mit Streichquartett:
'Die Mezzosopranistin Marie-Claude Chappuis, begleitet vom Merel-Quartett, trägt Franz Schuberts «Erlkönig» so dramatisch vor, dass man den Vater, den Sohn und den un­heim­li­chen Elfenkönig leibhaftig vor sich sieht.' (Thomas Schacher)

Purcell Dido and Aeneas with Vaclav Luks and Collegium 1704


"Ihrer Mezzosopranstimme verleiht Marie-Claude Chappuis opa­li­sie­rende Farben und legt in ihre Interpretation so viel Erleb­nis­tiefe
wie man es auf Konzertbühnen nur selten erleben kann".

ENTREVISTA

Interview sur Radio Espace 2


Marie-Claude Chappuis nous accueille aujourd'hui chez elle: c'est par un jour de février froid et pluvieux, dans la campagne fribourgeoise, la cheminée pétille, le thé est prêt. Elle se livre dans ce portrait avec toute la chaleur de sa voix et de sa personnalité, sa modestie et ses aspirations profondément spirituelles. Elle nous raconte ses débuts à Innsbruck, son festival, nous fait entendre ceux qu'elle admire…

DVD La Finta Giardiniera (Emmanuelle Haïm)
Marie-Claude Chappuis, perpetually clutching a bad­min­ton racket, brings agility and (in her distraught Act 3 aria) passion to the serious music Mozart wrote for the lovelorn Ramiro. (Chappuis sang the same role on René Jacobs’s CD recording).
GRAMOPHONE Classical Music Reviews

Auch Marie-Claude Chappuis hinterlässt mit ihrem eben­so höhen- wie tiefensicheren Mezzosopran als Ra­miro einen nachhaltigen Eindruck, sowohl in den un­be­küm­merten Momenten als auch, wenn Furor und Klage aus ihr herausbrechen.
SWR CD-Tipps

Marie-Claude Chappuis zeichnet die Figur mit resonan­tem Mezzoklang und eloquentem Vortrag. Ihr Ge­sang ist erfüllt von jugendlich auftrumpfender Energie wie me­lancholisch-sehnsuchtsvoller Empfindung. In ih­rem Fu­ror wagt sie sogar ausufernde, die Ge­sangs­li­nie spren­gende Töne.
Opera Lounge

Recital Chappuis Martineau 30 avril 2015 Festival du Lied
«Mise en musique par des mélodistes d’exception, la poésie française a révélé sa quintessence à des auditeurs captivés, venus nombreux au temple de Fribourg jeudi. Laissant éclore tel un bourgeon la huitième édition du Festival du lied, la mezzo-soprano Marie-Claude Chappuis et le pianiste Malcolm Martineau ont formé un duo idéal dans ce répertoire.»

La quintessence de la poésie française
LIED • Marie-Claude Chappuis et Malcolm Martineau ont noué une gerbe de mélodies.

Déjà l’écrit, les vers d’Apollinaire, Aragon, Hugo et Verlaine s’enfilent dans les pages du libretto comme autant de petites pièces d’orfèvrerie. Puis une voix passe par là. Les «r» se mettent à rouler, les voyelles à planer, les rimes à sonner... Mise en musique par des mélodistes d’exception, la poésie française a révélé sa quintessence à des auditeurs captivés, venus nombreux au temple de Fribourg jeudi. Laissant éclore tel un bourgeon la huitième édition du «Festival du lied», la mezzo-soprano Marie-Claude Chappuis et le pianiste Malcolm Martineau ont formé un duo idéal dans ce répertoire.

Fauré est le premier compositeur abordé. D’emblée, les interprètes trouvent un équilibre entre naturel et profondeur. Portée par l’ivresse et la douceur de l’accompagnement, la voix donne vie aux mots, creuse leur sens, s’amuse avec les consonances. Du vibrato à la diction, chaque inflexion participera à la justesse de l’interprétation de la vingtaine de mélodies au menu.

Précédé d’un silence plein d’intériorité, «Après rêve» s’éteint dans la torpeur et laisse place au ton guilleret des mélodies de Poulenc. Les pointes d’humour, soutenues par les regards rieurs des interprètes, ne manquent pas leur effet. Et ces regards, alliés aux gestes et postures expressives, rappellent que le lied n’a rien à envier à l’opéra: même sans décors, costumes et perruques, la chanteuse est une actrice et le poème une histoire.

Au fil des pages paganinesques ou plus recueillies, Malcolm Martineau s’impose comme un partenaire fiable et réactif. Attentif à chaque intention de la mezzo-soprano, il puise dans ses extraordinaires ressources pour préparer les transitions, souligner les contrastes et varier le tempo. Qu’il s’agisse de couronner «Fleur jetée» (Fauré) d’un grondement orageux, d’insuffler de l’espièglerie au récit «Nous voulons une petite sœur» (Poulenc) ou de mimer une grenouille de bronze (Satie), il tire sans hésiter le registre qui convient pour s’accorder à la voix de la cantatrice. Une belle complicité saluée par une salve d’applaudissements et plus d’un bouquet.
Benjamin Ilschner La Liberté 02.05.2015

Messiah Tonhalle Zürich am 2. April 2015
"Viel Temperament und Ausdruckswillen brachte vor allem die Mezzosopranistin Marie-Claude Chappuis ins Spiel. Sie ging in ihren Arien Risiken ein, verliess die gepflegte Komfortzone der Beschaulichkeit und sang in fesselnder Weise von den Demütigungs-Szenen der Passion Christi."
NZZ

Passion selon Saint-Jean de Bach avec Michel Corboz Novembre 2014
" ...les autres solistes offrent sans réserve l’essence de leurs personnages: comment ne pas voir une Vierge Marie dans l’affliction traversée d’espérance de Marie-Claude Chappuis? »
www.24heures.ch/culture/musique

" ...l’alto très engagé de Marie-Claude Chappuis."
www.letemps.ch

Konzerthaus Wien, Beethoven 9. Symphonie unter Ton Koopman am 1. Januar 2015
« ..Die Wiener Singakademie und die Solisten, Malin Hartelius (Sopran), Marie-Claude Chappuis (Mezzosopran), Jörg Dürmüller (Tenor) und allen voran Matthias Goerne (Bariton) ließen Freude und Gänsehaut aufkommen. »
www.wienezeitung.at

Salzburgerfestspiele 2014
Auch bei den mélodies von Fauré und Satie, welche die Mezzosopranistin Marie-Claude Chappuis mit schlanker, heller Stimme vortrug, saß Martineau am Flügel und begleitete hier besonders einfühlsam. Beide sorgten mit der sinnlich-raffinierten Wiedergabe von Saties „Je te veux“ für einen Höhepunkt.
www.Opera Lounge

Grosse Schubertiade bei den Salzburgerfestspielen 2014
"Zwei Damen - Cecilia Bartoli und Marie-Claude Chappuis – setzten strahlende Glanzlichter bei der „Großen Schubertiade“. (…)
La Bartoli sang Lieder Schuberts auf italienische Texte, die, so das Programmheft, „in der Regel dem Unterreicht bei Antonio Salieri“ entstammen.
Marie-Claude Chappuis bezauberte im Wechselgesang mit dem Männerensemble mit dem „Ständchen“ D 920.»
www.drehpunktkultur

"Den Vergleich mit Bartoli nicht scheuen muß Marie-Claude Chappuis, die mit dem Ständchen (D 920) Beifallsstürme entfachte. »
www.operapoint.com
Swisstalk Frauen die was bewirken.

LA FINTA GARDINIERA MOZART, Lille et Dijon Mars/Avril 2014
"Quant à Marie-Claude Chappuis, son Ramiro est bouillant de vie et parfait vocalement."
www.la montagne.fr/opera-magazine.

L'excellente mezzo Marie-Claude Chappuis (Don Ramiro) parvient au miracle mozartien du temps suspendu lorsqu'elle phrase superbement, le souffle amirablement contrôlé, comme dans
le « Dolce d'amor compagna ».
www.opera-online.comsize

"Ramiro, amoureux éconduit d’Arminda, est chanté superbement par Marie-Claude Chappuis. Le larghetto du
« Dolce d’amor compagna » nous comble. Sa force d’émotion dans « Va pure al altri in braccio » en fait un des sommets de l’ouvrage. Une voix remarquable qui confine à la perfection."
www.musigologie.org

"Dans le rôle travesti de Ramiro, Marie-Claude Chappuis s’offre le luxe d’un magnifique Dolce d’amor compagna , mozartien à souhait."
www.le bien public.com

"Ramiro, destiné à l'origine à une voix de castrat, d’une mélancolie touchante, n’est ici jamais pleunichard ou caricatural. Marie Claude Chappuis (qui a enregistré le rôle avec René Jacobs) incarne avec justesse le jeune amoureux éconduit par sa virago. L'aria « Se l’augellin » campe un personnage tendre et émouvant.
La violence de son « Va pure al altri in braccio » est juste, servie par une belle voix ample, chaleureuse, généreuse et à la conduite exemplaire, dont le naturel force l’admiration."
www.forumopera.com

Marie-Claude Chappuis est dans son jardin en Ramiro, rôle travesti qu'elle a récemment gravé pour René Jacobs (HM) et dont elle trouve les ressorts les plus touchants dans un Dolce d'amor compagna chanté dans l'ombre portée des feuillages.
www.diapason.fr

« La Fausse Jardinière » nous transporte du Jardin des délices à la jungle.
« Quant à Ramiro, rôle travesti tenu avec charisme par la mezzo Marie-Claude Chappuis,
il réussit à étonner puis à émouvoir. »
www.journal le monde culture

Marie-Claude Chappuis is Orlowsky in "CHAUVE-SOURIS"
Grand Théatre de Genève, Décembre 2013
Photos
"Marie-Claude Chappuis was a strong Orlowsky"
Seen and Heard International

"L'Orlofsky de Marie-Claude Chappuis ne mérite que des louanges, elle promène sur scène son ennui d'enfant trop gâté avec un naturel teinté d'ironie auquel elle adjoint une voix de poitrine large, posée, une projection précise et une diction impeccable, ce qui n'a rien d'étonnant pour cette spécialiste du Lied qui a même fondé à Fribourg un festival consacré à ce répertoire."
Forumopera.com 

«WALDGESPRÄCH»
Marie-Claude Chappuis, Julia Kleiter und Michael Gees: "Einzigartige-Harmonie"


Les Nuits d'été von Berlioz in St. Gallen
"Mit ihrer schönen, warmen, manchmal sogar leuchtenden Stimme gibt Marie-Claude Chappuis einer breiten Palette von Gefühlen Raum, achtsam begleitet vom Sinfonieorchester."
St. Galler Tagblatt, Rolf App, 25. Nov 2013

Ramiro
Finta Giardiniera Mozart Madrid
« Le rôle travesti de Ramiro est chanté par la mezzo Marie-Claude Chappuis : une voix extraordinaire, de grande ampleur, puissante et également pleine de caractère… »
ConcertoNet

Anima
Rappresentatione di Anima et Corpo / Cavalieri Staatsoper Berlin
… exquisite Sängerensemble, allen voran Marie-Claude Chappuis als Anima und Johannes Weisser als Corpo. Der Mezzo der Schweizerin Chappuis, Salzburgs Dorabella in 2013, ist kräftig und beseelt zugleich, wie es die Rolle verlangt. Immerhin erkühnt sie sich, nach dem Höchsten zu greifen: „Ich will den Himmel, der die Wahrheit niemals verbirgt, befragen.“
www.opernnetz.de

"As Anima (Soul) Marie-Claude Chappuis is a real match for all the male voices with her clear and substantial mezzo-soprano making a highlight out of her echo scene".
www.polifonicagrimaldi.it

« …rein, hell strahlend, kräftig zuversichtlich Marie-Claude Chappuis…. »
Klassik.com

..."Wunderschön klare Stimmen, präzise, versmaßgerecht artikulierend, mit voluminöser überzeugungskraft intonierend fokussieren die Sänger auf Text und Monodien: rein, hell strahlend, kräftig zuversichtlich Marie-Claude Chappuis (Anima)"
Klassik.com Michaela Schabel


Chappuis was Dorabella in Mozart "Cosi fan tutte" by Salzburg Festival 2013   Photos
"Marie-Claude Chappuis ist eine wunderbare Dorabella" 
Oe24 / Kultur

« Marie-Claude Chappuis als Dorabella ist die sprunghaftere der beiden Schwestern,
ihr blitzt der Schalk aus den Augen wie aus der Kehle. »
"…und Marie-Claude Chappuis (Dorabella) wurden bejubelt"
Heute.at

"Hervorragend vor allem Malin Hartelius als Fiordiligi mit geschmeidiger Sopranstimme samt innigem Piano und strahlendem Fortissimo
sowie Marie-Claude Chappuis als Dorabella, die selbst gefährlichste Höhen meisterte."
Donaukurier.de

"Beim Publikum völlig zu Recht am besten weggekommen ist Luca Pisaroni, gefolgt von Marie-Claude Chappuis und Gerald Finley."
Heute.at

Production brillantissime que ce Così fan tutte où rien ne bouscule le livret,
mais avec quelle efficacité !Plateau irréprochable, personnages caractérisés, énergie et sincérité à tous les étages.
… avec une évidente immédiateté, Marie-Claude Chappuis s’impose sans états d’âme, impulsive, instinctive, toute dans la joie et la passion, d’une véritable candeur de petite fille où l’échange des portraits gagne une innocence touchante.
Altamusica.com

"Bravi i cantanti tutti con il physique de rôle . Tutti anche ottimi attori."

www.formiche.net


"La damnation de Faust" von Berlioz und der Dirigent : Sir Roger Norington.
"…Mit Marie-Claude Chappuis stellte sich eine Sängerin vor, deren weiche Stimme zu einer Strahlkraft fähig ist, wie man sie selten zu hören bekommt..."
Marguerite/ Berlioz, Südthüringer Zeitung

« La mezzo Marie Claude Chappuis a tout pour elle – le style, la diction, la justesse, l’expression… » (Miroir de Jésus / Caplet)
ConcertoNet

« Enfin, le rôle travesti de Ramiro (Finta giardiniera / Mozart) est chanté par la mezzo suisse Marie-Claude Chappuis : une voix extraordinaire, de grande ampleur, puissante et également pleine de caractère… »
ConcertoNet

"L'alto Marie-Claude Chappuis se distingue: la sûreté fervente de la cantatrice est assurément le pilier de cette lecture live de 2009! Un must qui accrédite la pertinence du Bach version Chailly à Leipzig,
mais sur instruments modernes. (Bach: Matthäus-Passion, CD / Riccardo Chailly / Decca)"
AGENDA CULTUREL.FR

Gewandhaus Leipzig
Mit zehnminütigem Jubel bedachte am Sonntagabend im Gewandhaus Leipzig das Publikum. Trevor Pinnocks aus der Jahreszeit gefallene Aufführung von Bachs Weihnachtsoratorium.
Die Eindringlichkeit,die Marie-Claude Chappuis mit ihrem satt schmeichelnden Wunder- Mezzosopran ihre Partien inhaltlich ausgestaltet, macht sinnlich erfahrbar, was mit barocker
Klangrede gemeint ist.
P. Korfmacher, Leipziger Volkszeitung

...Die vier Solisten, alle erfahrene Oratoriensänger wid­meten sich mit Hingabe und Verant­wortungs­bewusst­sein den Rezitativen und Arien mit ihren reichen Ver­zie­run­gen und „Extras“...
...Marie-Claude Chappuis erfüllte mit ihrer leicht dunkel gefärbten, kraftvollen Stimme sehr zuverlässig die Rolle der betrachtenden menschlichen Seele, die Bach der Altpartie zugedacht hat...

Festival  du lied Fribourg Suisse, 1er au 9 juin 2013
…Mit Werken von Bizet, Faure und Satie offenbarte die Freiburgerin auch ihr Schauspieltalent und bezauberte so das Publikum. Die Mezzosopranistin schöpfte am Samstag durchwegs aus dem Vollen: Wunderbar die balsamische Wärme in der Mittellage, herrlich die sanft schimmernden Mezzo-voce-Schattierungen, beeindruckend die Leuchtkraft, die ihre Spitzentöne krönte…
Freiburger Nachrichten 11.06.2013  I. Lehmann

"Damnation de Faust" Berlioz, "ZAUBER DER MUSIK IN LEIPZIG"
4. Konzert Leipzig Gewandhaus Sonntag, 17. Februar 2013

Rundum beglückend!  Roger Norrington dirigiert im Gewandhaus La Damnation de Faust
"… Rundum eindrucksvoll gestalten die vier Solisten je ihre Partien. Marie-Claude Chappuis ist eine wunderbar klangschöne und technisch souveräne Marguerite. Die Partie scheint für die Mezzosopranistin geschaffen…"
Leipziger Volkszeitung

...Marie-Claude Chappuis singt Marguerite. "…Mit Marie-Claude Chappuis stellte sich eine Sängerin vor, deren weiche Stimme zu einer Strahlkraft fähig ist, wie man sie selten zu hören bekommt..."
Alfred Erck, Südthüringen.de

Caplet: Un beau Miroir,   nante 3 février 2013

"Voici quelques mois seulement, une parution et une réédition venaient enrichir la maigre discographie du Miroir de Jésus (1923) d’André Caplet. Un bonheur n’arrive jamais seul, car une nouvelle version, venue de Suisse romande et publiée chez Mirare, est bien placée pour s’imposer comme la référence dans cette œuvre véritablement sui generis. Davantage encore qu’aux neuf chanteuses de l’Ensemble vocal de Lausanne fondé par Michel Corboz et dirigé ici par Jean-Claude Fasel, on le doit aux musiciens réunis autour du Quatuor Sine Nomine et à la mezzo Marie Claude Chappuis, qui a tout pour elle – le style, la diction, la justesse, l’expression. L’approche globale n’est pas infidèle aux influences debussystes et ravéliennes du compositeur, mais rarement cette musique aura paru à la fois si lumineuse et moderne – Messiaen s’annonce déjà."
ConcertoNet

 …une mezzo soliste (radieuse Marie-Claude Chappuis), neuf voix de femmes (Ensemble vocal de Lausanne), une harpe (Anne Bassand) et un quintette à cordes (Sine Nomine), pour servir une transparence qui n’est jamais inconsistance, une douceur jamais douceâtre, une naïveté sans mièvrerie, une douleur sans pathos, un sentiment religieux jamais saint-sulpicien. Vrai chef-d’œuvre d’économie subtile et de diversité dans l’unité. Pour une écoute recueillie et illuminée!"
Pierre Michot, LE TEMP

Staatsoper Unter den Linden in Berlin: „Rappresentatione di Anima et di Corpo“
von Emilio de’ Cavalieri,  Juni 2012

 
..."Wunderschön klare Stimmen, präzise, versmaßgerecht artikulierend, mit voluminöser überzeugungskraft intonierend fokussieren die Sänger auf Text und Monodien: rein, hell strahlend, kräftig zuversichtlich Marie-Claude Chappuis (Anima)"
Klassik.com  Michaela Schabel

...aus dem exzellent besetzten Ensemble ragten einige Interpreten stimmlich besonders heraus.
In erster Linie die Schweizer Mezzosopranistin Marie-Claude Chappuis als Anima, die mit einem engelsgleichen Gesang aufwartete, dass einem der Atem stockte... 
Udo Pacolt "Der Neue Merker"  Wien – München

"...Strahlend, kräftig und zuversichtlich singt Marie-Claude Chappuis als Anima..."
www.oberpfalznetz.de

... Anima, die in Unschuldsweiß agierende Seele. Marie-Claude Chappuis singt diese Rolle tatsächlich mit Seele, hat stim­mlich bereits die Himmelshöhen erklommen. Auch dann noch, als selbst sie in ein mausgraues Büßergewand schlüpfen muss. Das klingt spartanisch, doch die Szene ist in ständiger Bewegung, zumal die guten und die bösen Einflüsterer eigene Mannschaften aufbieten, wie Schutzengel und Himmelsstimmen, bzw. Gehilfen der Verführer sowie eine verdammte Seele.
Ursula Wiegand "Der Neue Merker"

Staatsoper Unter den Linden in Berlin: „Rappresentatione di Anima et di Corpo“
von Emilio de’ Cavalieri
Glänzender Barock II: opernrarität an der berliner staatsoper
...Dazu verfügt er über ein exquisites Sängerensemble, angeführt vonder bezaubernden Marie-Claude Chappuis als Anima und Johannes Weisser als Corpo. Musik auf höchstem Niveau zu einem freien Spiel
der Asso­ziat"io"nen...
Auszug aus der Kritik von Ralf Döring "Deutschland und Welt"

L’amour du beau chant
Fribourg suisse-Musée d'art et d'histoire  21./22.04.2012
La chaleureuse voix de Marie-Claude Chappuis a ravi le public.

Samedi soir le luth évocateur de Luca Pianca et la voix chaleureuse de Marie-Claude Chappuis se sont courtisés dans l’inti­mité enchanteresse du Musée d’art et d’histoire de Fribourg, pour le plus grand bonheur des amateurs de beau chant. Badine, con­templative ou ardente, truculente, tendre ou languissante, une palette éclectique d’airs amoureux et de chan­sons co­quines de Michel Lambert, Jean Baptiste Lully et autres Gabriel Bataille témoigne tout autant de l’art d’aimer que de celui de chanter.
C’est que la mezzo-soprano fribourgeoise et son courtois accompagnateur maîtrisent avec une veine quasi cabo­tine la rhé­to­rique galante de la Renaissance et du Grand Siècle français. Alors que la cantatrice déploie une expressivité désin­hibée, éta­yée par un sens scénique consommé, le luthiste suggère une répartie instrumentale éloquente et rythmée. Et n’hé­site pas le cas échéant à donner de la voix!
Des chansons à boire un tantinet triviales se hissent au rang de morceaux d’anthologie, transcendées par un hu­mour com­plice et une technique vocale ancrée dans la narration. Terrienne et néanmoins contemplative, la chanteuse s’abandonne sans re­te­nue dans l’affect. Mais ne perd jamais le fil d’une ornementation finement virtuose. L’engagement quasi ex­pres­sion­niste de deux personnalités musicales bien affirmées colore ces romances et complaintes d’un autre temps d’une sin­gulière modernité.
Car nul n’ignore l’engagement passionné de Marie-Claude Chappuis pour le Lied. Un engagement qui s’est traduit par la créa­tion, en 2001 à Fribourg, d’un festival annuel dédié à cette forme musicale qui allie sous toutes les latitudes textes et mé­lo­dies avec un raffinement inégalable. Ce récital «Sous l’Empire d’Amour» annonce ainsi le jubilaire de la première dé­cennie de la mani­festation qui aura lieu du 1er au 9 juin à la salle Equilibre à Fribourg. Et Eros rejoint finalement le XXe siècle avec en bis un arrangement de la chanson atemporelle de Jacques Brel «La tendresse».
MARIE-ALIX PLEINES

Kölner Philharmonie
Johann Sebastian Bach, Messe h-Moll BWV 232 (1733), für Soli, Chor und Orchester
03.11.2011
" Marie-Claude Chappuis, Magnus Staveland sowie Michael Nagy überboten sichin vokaler Inbrunst und Stilempfinden. Nach dem letzten Akkord herrschte spürbare Ergriffenheit - bevor sich Begeisterung in tosendem Applaus Luft machte "
General-Anzeiger-Bonn, Christoph Zimmermann

Edinburgh international festival
Robert Schumann «Das Paradies und die Peri»
Opening concert 12.08.2011
A neglected Schumann oratorio opens the Season.
"Marie-Claude Chappuis’ rich fulsome mezzo doubled as an extremely characterful angel..."
Seen and Heard International, Simon Thompson

"...Marie-Claude Chappuis's ravishing Angel."
The Guardian,Tim Ashleyan

Bach h-Moll-Messe mit René Jacobs
Tonhalle Zürich am 21. Juni 2011
"...Ganz in diesem gestischen Sinne agierte die Mezzosopranistin Marie-Claude Chappuis,
die ihren Partien einen individuellen Stempel aufdrückte und das "Laudamus te" einer
jungen Verliebten gleich sang."
NZZ

Das Theater an der Wien zeigt Mozarts "La finta giardiniera"
als Traumatisierten-Treffen. premiere 19.11.2011
"Marie-Claude Chappuis dramatisch fesselnd als Ramiro, bis hin zu einem wirklich grandiosen Rasen."
Egbert Tholl, Südeutsche Zeitung

Marie-Claude Chappuis in der Hosenrolle des Ramiro, ihre Interpretation ist eine
darstellerisch wie sängerisch exzellente...
Theresa Steininger www.k2centrope.com

Le retour de René Jacobs à Cosi fan tutte dans une version de concert très scénarisée.
Marie-Claude Chappuis nous offrit une Dorabella toute de spontanéité,
de joie de vivre, de sensualité débridée. Son « Smanie implacabili » du premier acte fut tout
simplement anthologique de technique et d’expression. Mais c’est bien l’ensemble de
sa prestation ce soir-là qui mériterait une telle appréciation.
mercredi 6 octobre 2010 par Philippe Houbert

Indubitablement coquine et doucement volcanique, Marie-Claude Chappuis brille
par la beauté sensuelle de l’étoffe, le relief des affects, l’attachante présence.
Rarement Dorabella me sera apparu si vive, si charnelle et humaine à la fois.
Opérachroniques

...Marie-Claude Chappuis was the best lady singer of the night. Her voice is rich, strong on both sides of the spectrum and I am sure
we'll hear more of her in the future...
instantencore

Berlioz: Roméo et Juliette, Tonhalle Zürich mit Ch. Dutoit, 21. Mai 2010
Marie-Claude Chappuis bezauberte bei den "Strophes", welche die Liebe des Titelpaares besingen, mit leuchtender Stimme und poetischem Ausdruck.

NZZ, Thomas Schacher, Mai 2010

"La Calisto" opéra de Francesco Cavalli, 
Théâtre des Champs-Elysées, Paris, mai 2010
Lawrence Zazzo und Marie-Claude Chappuis erfreuen durch wundervollen Wechselgesang. Bei Lawrence Zazzo, der dem Publikum des Théâtre des Champs-Elysées als Star unzähliger Barock-Interpretationen wohl bekannt ist, erstaunt das wenig.
Doch die nuancierte, klare Phrasierung und die stimmliche Sicherheit der jungen Schweizerin in dieser Barockrolle war eine freudige überraschung und die Liebesszene auf dem Monte Liceo demnach entschieden einer der Höhepunkte des Abends.

Operapoint Alexander Jordis-Lohausen

Marie-Claude Chappuis, Diane sensuelle et souvent captivante, belle en scène et superbe chanteuse, s’impose
également sans peine.
Par Friedmund, Opérachroniques

...on est heureux que l’instrument si noble de Marie-Claude Chappuis se développe aussi généreusement, sa Diane ambrée, fine, sensuellement modelée était stupéfiante"
Jean-Charles Hoffelé, www.concertclassic.com

"Marie-Claude Chappuis est une Dianesédui-sante, au timbre ambré et chaud; sa voix est brillante et souple".
Monique Parmentier, www.anaclase.com

IDOMENEO IN ZüRICH FEBRUAR/mäRZ 2010, mit nikolaus harnoncourt
..."Local girl Marie-Claude Chappuis  was a clear audience favorite as Idamanate and she was roundly cheered..."
Opera Today / James Sohre

...Seinem Sohn Idamante verleiht Marie-Claude Chappuis ihre wunderbare Mezzosopranstimme: Mit grossem Atem singt sie die Hosenrolle, kann vor allem mit der ausdrucksstarken, kräftigen Mittellage und den mühelos aufblühenden Höhen überzeugen. Perfekt harmoniert ihre Stimme mit derjenigen der trojanischen
Königstochter Ilia…
www.opera-aktuell


...doch auch Marie-Claude Chappuis als Idamante sang dermaßen herzbewegend schön, dass man am liebsten 
die Zeit angehalten hätte...

"MC Chappuis sang such a movingly beautiful Idamante, that one could have stopped the clock"
"Der Opernfreund" H. J. Rauschecker

"Szabo Kritisches Journal der alten Musik"
Hörtipp: Eine gänzlich andere Mozart-Auffassung liefern die excellenten Einspielungen mit René Jacobs und dem
Freiburger Barockorchester. Besonders spannend zu hören La Clemenza di Tito, aufgenommen bei harmonia mundi
in hervorragender Klangqualität auf SACD, mit Marie-Claude Chappuis als Annio. Jacobs brennend intensive
Interpretation wird als revolutionär bezeichnet, auch er vertraut der Originalpartitur und legt besonderes Gewicht auf
die sprachlich so reizvollen Rezitative.


Festival Sin Nomine Lausanne 2009, 7 juin,  André Caplet,  Miroir de Jésus
« J’ai été médusé par le chant de Marie-Claude Chappuis qui a incarné  cette parole poétique,
ces élans, ces abîmes avec une force et une pureté  dans la voix absolument sublimes (…)».
Nicolas Julliard, Espace 2, Daredare

Salzburg Mozarteum Großer Saal, Mozart-Werke, in Salzburg neu geschenkt, 31. Januar 2010
Im ersten Teil des Konzerts wurde das Programm der Mozartwoche abgerundet, die ja mit einem szenischen "Idomeneo" begonnen hatte. Harnoncourt ließ nun noch einmal die Ballettmusik hören: deutlich langsamer, kantiger in der Detailformulierung – eigentlich ein ganz anderes Werk. Und schließlich zwei Idamante-Arien aus dem "Idomeneo", mit der Schweizer Mezzosopranistin Marie-Claude Chappuis: einer Sängerin, die mit metallisch leuchtender Stimme, dann wieder mit wie verhaucht wirkendem Ansatz viel gestalterische Aufrichtigkeit einzubringen wusste.
Wiene Zeitung,  Reinhard Kriechbaum

 Kritik zu John Neumeiers 'Weihnachtsoratorium' (Theater an der Wien Wien)  19.12.2009
...Beides, Tanz und Musik, ist erstklassig. Erwin Ortner leitet das zupackend musizierende Wiener Kammerorchester, den glasklaren Arnold Schönberg Chor und ein stimmiges Solisten-Quartett, aus dem Christoph Prégardien als Evangelist herausragt. John Neumeiers Ballett-Kompanie aus Hamburg gehört sicher zu den besten der Welt. Neumeiers Arbeit ist fern von allem Weihnachts-Kitsch. Wohl gibt es an diesem Abend Engel und auch einen Hirten (exzellent von Carsten Jung getanzt), im Mittelpunkt steht aber die Geschichte einer Mutter und ihres Mannes. Archetypen sind das beinahe, weniger Maria und Josef selbst, sondern nur – aber was heißt hier schon „nur“? - „eine Mutter“ (Joelle Boulogne) und „ihr Mann“ (Peter Dingle). Diese Mutter ist unruhig und gequält, verzehrt sich fast vor Sorge um ihr Kind. Das weiße Tuch, das es symbolisiert und das sie in ihren Armen wiegt, erweist sich später als ein Hemd, das entfaltet die Form eines Kreuzes hat. Kind und Erlöser sind eins. 'Schlafe, mein Liebster, genieße der Ruh' (mit rundem Alt von Marie-Claude Chappuis gesungen) wird so zur ergreifenden Bitte eines geängstigten Mutterherzens...
www.Klassik.com  Christian Gohlke

«L’Etoile» et sa constellation fantasque, Grand Théâtre de Genève, 6.11.2009

.... Quant à Marie-Claude Chappuis, le cheveu hirsute et la démarche volontaire, elle met de côté toute démonstration lyrique
(«La romance de l’étoile» au Ier acte) pour camper un Lazuli frais, virevoltant, sans artifice..
LE TEMPS CULTURE

Gesang an der Grenze der Stille

Marie-Claude Chappuis und Il Giardino Armonico loten in der Frauenkirche
Dresden emotionale Grenzen aus. 5.09.2009
Bittere Tränen des Bedauerns mögen alle vergießen, die Barockmusik in Vollendung lieben, es aber geschafft haben, Marie-Claude Chappuis und Il Giardino Armonico in der Frauenkirche zuversäumen.
 (ganzer Text)
Von Jens-Uwe Sommerschuh


CD-Aufnahme "CLEMEZA DI TITO"
Die jüngst in Salzburg gefeierte junge Schweizerin hat an CD-Aufnahmen mitgewirkt, die mit Preisen überschüttet wurden: Mozarts "La Clemenza di Tito", Telemanns "Brockes-Passion". Dass sie ihren geschmeidigen Mezzosopran nuanciert in den Dienst des Werkes und seiner Botschaft zu stellen vermag, bewies sie am Sonnabend zunächst mit Monteverdis "Pianto della Madonna", einer späten Sakralversion des "Lamento d'Arianna" von 1608. Chappuis sang dieses "Tränenlied", von Luca Pianca auf der Laute begleitet, hoch oben auf der Orgelempore: "Möge ich doch sterben, mein Sohn. Denn wer könnte eine Mutter trösten ..." Die Sängerin ließ die Qualen tiefer Trauer als ein dunkles Band auswehen, das für Maria nie enden wird, das sie weder zerreißen noch loslassen kann.

Publikum seufzt mit
In Francesco Contis "Ich fühle schon die Kräfte schwinden" verschmolz ihr zartes Legato mit Giovanni Antoninis Spiel auf dem Chalumeau, einer Urform der Klarinette. Höhepunkt war dann die halbstündige Kantate "Il Pianto di Maria" von G. B. Ferrandini. Der Mut der Sängerin, ihre Stimme in einem so gewaltigen Klangraum bis an die Grenze zur Stille zurückzunehmen, ließ viele den Atem anhalten, sodass die mächtigen Töne, mit denen sie dann Affekten des Aufbegehrens und Zorns die Pforten öffnete, vom Aufseufzen des Publikums mitgetragen wurden. Diese Sängerin hat das geschmeidige Wesen italienischer Barockmusik tief verinnerlicht..

Ein Fest der Zwischentöne
Das von Antonini dezent geleitete 14-köpfige Ensemble, das zum zweiten Mal einen Klassik-Echo erhält, trug das auf Feinabstimmung ausgerichtete Konzept wesentlich mit. Faszinierend, wie die Italiener ihr Temperament zugunsten der Zwischentöne zu zügeln wussten. Mit instrumentalem Silber von Caldara, Marini, Vivaldi und dessen Dresdner Schüler Pisendel fassten sie die sanft leuchtenden Gesangsjuwelen kongenial. Antonini ließ die Stücke elegant ineinander fließen, was dem feierlichen Flair zugute kam. Eines der bislang bewegendsten Konzerte in der Frauenkirche endete im rauschenden Beifall derer, die eine Vorahnung für das Besondere hergelockt hatte. Als Zugabe hörten sie "Mein Heiland" aus Telemanns "Brockes-Passion". Mit der CD-Box (Harmonia mundi) können sich die trösten, denen dieses Erlebnis entgangen ist.
sz.kultur@dd-v.de

Eindringlich musizierte Mariengesänge
Marie-Claude Chappuis und "Il Giardino Armonico"in der Frauenkirche, DRESDEN, 5.09.2009

... Den vokalen Part dieses Konzertes gestaltete die Schweizer Mezzosopranistin Marie-Claude Chappuis, die sich wie ein ebenbürtiges Instrument in die Schar der Musiker einfügte und insbesondere in Giovanni Battista Ferrandinis Kantate "Il Pianto di Maria" eindrucksvolle Gestaltung ihrer Linien bot. Dazu faszinierte hier die Faktur der Kantate mit einer zweimal musizierten ernsten Cavatine und mit einem fast schon ruppig-bestimmten Rezitativ als Finale. Von der Orgelempore sang Chappuis im ersten Teil raumgreifend und dramatisch Claudio Monteverdis "Pianto della Madonna", eine Fassung des berühmten "Lamento d'Arianna". Die räumliche Distanz kreierte eine besondere Bühnensituation: dieser Maria war zu Hilfe zu eilen unmöglich und mit dieser festen Unausweichlichkeit sang Chappuis die Klage sehr überzeugend...  (ganzer Text)
Musik Kultur Dresden

«Festival du Lied» Freiburg/Fribourg SCHWEIZ , 1. Juli 2009  Auftakt gelungen
Marie-Claude Chappuis und Cédric Pescia begeistern und berühren. Das Publikum wird
mit eindringlichen Interpretationen der Werke von Haydn, Mozart, Fauré und Poulenc beglückt

Wir erleben eine Sängerin mit ausserordentlicher Präsenz und Ausstrahlung, mit einer den unterschiedlichen Kompositionen angepassten Körpersprache, einer farbenreichen, ungemein wandlungsfähigen Stimme, einer vorbildlichen Diktion, und wir folgen einem Pianisten, der mit einem grossen dynamischen Ausdrucksspektrum, beeindruckender Artikulation, mit klarem Anschlag, wohldosiertem Pedal feinfühlig mitgestaltet. Haydn, Mozart Im Zentrum des ersten, «klassischen» Konzertteils steht die Kantate «Arianna a Naxos» von Josef Haydn, eine zwanzigminütige mitreissende Komposition, die gleichsam als grosse dramatische Szene in zwei Rezitativen mit anschliessenden Arien die sich allmählich wandelnde Gefühlswelt Ariannas musikalisch nachvollzieht. Marie-Claude Chappuis und Cédric Pescia verstehen es, die gewaltige Emotionalität der Szene mit ihrem (Körper-)Spiel und ihrem Gesang expressiv zu durchleben. Betörend, wie etwa im zweiten Rezitativ die stete Steigerung von der unsicheren Fragehaltung zur Bitterkeit, zur Verzweiflung, schliesslich zur unbändigen Wut Ariannas von den beiden Interpreten miterlebt und mitgestaltet wird und wie der übergang zur resignierenden zweiten Arie eine vibrierende Spannung und Leere auslöst. «Barocke» Affektensprache in exemplarischer «Manier»! Französische Klangwelt Der zweite Teil führt in den Zauber französischer Liedtradition, in die sinnliche, meist natürlichausgewogene Klangwelt Gabriel Faurés und in eine oft theatralisch-parodistische, fast surrealistische, schalkhafte Szenerie Francis Poulencs. Sängerin und Pianist sind hervorragende Interpreten dieser farbigen, harmonisch reichen Musik. Natürlichkeit, Schlichtheit des Gestaltens bezaubern in Liedern wie «Clair de Lune», «Prison» (Fauré) oder in «Priez pour paix» (Poulenc) - ein Moment höchster Eindringlichkeit! Und der Humor, der Schalk, das Possenhafte, Karikierende in Liedern wie «Avant le Cinéma», Fêtes galantes» oder «Nous voulons une petite soeur» (Poulenc) werden von Marie-Claude Chappuis virtuos theatralisch, mit komödiantischer Gestik, plastischer Diktion,mit betörenden stimmlichen Mitteln und doch mit einer bewussten Distanz zum allzu ric Pescia mit seinem transparenten, immer klaren Klavierklang, seinem auffälligen Virtuosität, seiner Anpassungsfähigkeit mit der Sängerin ausgezeichnet koordiniert. - Ein beeindruckender Liederabend.
"Freiburger Nachrichten"Schweiz, Hubert Reidy

Un purmoment de grâce 
FESTIVAL DU LIED A Fribourg Suisse
La mezzo-soprano Marie-Claude Chappuis et le pianiste Cédric Pescia ont ouvert
mercredi 1er Juillet 2009, la 5e édition du festival.

Il y a des moments de grâce parfois qui sont de vrais cadeaux. C’est un de ces moments-là qu’a offert mercredi soir
à Fribourg la mezzo-soprano Marie-Claude Chappuis. Elle a ouvert, accompagnée par le pianiste Cédric Pescia, la
cinquième édition du Festival du Lied. Le récital, autour de Haydn et Mozart dans la première partie, des Français Fauré
et Poulenc dans la seconde, tisse de passionnants changements d’atmosphère: de purs plaisirs comiques,
des mélodies intérieures tout en simplicité et des parties explosives de tragédienne. Le fil rouge, qui traverse les
époques, c’est l’intensité dramatique de la chanteuse, sa justesse d’interprétation, une manière très profonde
d’incarner chaque mot. La voix cherche toujours le sens, la diction est soignée, les couleurs du timbre varient dans
chaque pièce, dans chaque phrase: c’est un fascinant renouvellement des moyens d’expression. Chaque mélodie
semble être ce minithéâtre où se joue en quelques minutes tout un destin. Dans la cantate «Ariane à Naxos» de Haydn,
une angoisse viscérale ne lâche ni la chanteuse ni le pianiste. La dentelle délicate des notes perlées du début fait
place à l’inquiétude. Marie-Claude Chappuis charge son chant d’émotion à vous soutirer des larmes. Elle rend 
l’abandon d’Ariane incarné, concret, comme si le mythe devenait vraiment vécu. Tout en évitant le maniérisme, la voix
peut autant s’éteindre de douceur et de soupirs d’amour que s’emporter, puissante, dans la folie et la colère qui menacent
Ariane (quelle solidité dans les graves!). Une théâtralité très opératique. Chez Fauré, «Mai» et «Les berceaux»
rayonnent de simplicité et d’intériorité. L’émotion est contenue. Pas d’effets ici, ni au piano, ni dans la ligne de chant.
Mais l’évidence d’une musique touchante et sublime. Puis la voix se couvre d’un voile sous l’étrange «Clair de lune»
de Verlaine. Et avec Poulenc, Marie-Claude Chappuis assume avec bonheur les accents coquins et les piques
humoristiques. «Avant le cinéma» d’Apollinaire est enlevé, joueur, ironique. Dans les «Fêtes galantes» et «Nous
voulons une petite soeur», la chanteuse change encore de couleur pour timbrer sa voix comme au temps du cabaret.
Son tandem avec Cédric Pescia, merveilleusement attentif, est d’une très haute exigence artistique.
"LA LIBERTE " Elisabeth Haas

Feldkirchfestival 11. und 13. Juni 2009
...Im bewussten Kontrast zum Wagnerismus- Gegner Poulenc wurden im ersten Teil des Abends Richard
Wagners Wesendonck- Lieder gesungen, allerdings in der Kammerorchesterfassung von Hans Werner Henze.
Mezzosopranistin Marie- Claude Chappuis im eleganten langen Roten vor rustikaler Holzwand interpretierte
die Tristan und Isolde- Vorstudien mit hinreißender vokaler Intensität und erntete verdienten Applaus....

Festival Sin Nomine Lausanne 2009, 7 juin,  André Caplet,  Miroir de Jésus
« J’ai été médusé par le chant de Marie-Claude Chappuis qui a incarné  cette parole poétique,
ces élans, ces abîmes avec une force et une pureté  dans la voix absolument sublimes (…)».
Julliard, Espace 2, Daredare

Le lied au bout de la nuit,  Genève mai 2009 
(Texte intégral, photo)
Conversations à Rechlin, Scènes musicales d’après le roman Chemin Venel de Martine Chevalier adaptation
de François Dupeyron, musique de Franz Schubert, Robert Schumann et Hugo Wolf.
Marie-Claude Chappuis (la Chanteuse), Inna Petcheniouk (la Pinaiste), Nicolas Brieger (l’Officier)
François Dupeyron (mise en scène)
Remarquables Marie-Claude Chappuis et Inna Petcheniouk, excellentes comédiennes aussi – même si
la seconde maîtrise un peu moins bien son jeu et son articulation. Déjà remarquée à Genève,
Marie-Claude Chappuis est superbe, autant par la beauté et l’homogénéité
de la voix que par la qualité de la ligne et du phrasé, par l’intensité contenue oulibérée de son interprétation.
Inna Petcheniouk, souvent associée aux productions genevoises pour les études musicales, partenaire
 et non pas accompagnatrice, trouve au piano des couleurs et des nuances complémentaires de celles de
la voix, crée des atmosphères, fait chanter le clavier à l’unisson. Nicolas Brieger, que le Grand Théâtre
connaît comme metteur en scène, particulièrement inspiré, dans Lady Macbeth de Mzensk (lire ici) ou La Ville
morte, endosse de nouveau ses habits de comédien pour incarner, dans une économie de gestes
très étudiée, d’une voix faussement atone ce Werner faussement distant, revenu de tout, patricien abusé
par l’histoire, qui, de peur de passer pour un lâche, remet son uniforme quand le camp est libéré. Nelly esquisse,
 a cappella, « Rose sauvage » de Schubert ; il lui baise la main et disparaît.
Jean-Marie Blanchard tenait beaucoup à ces « Scènes musicales » dont il a eu l’idée. Il avait raison.
Didier van Moere,  concertoNet.com

François Dupeyron: Conversations à Rechlin, Genève, Mai 2009
…Ein wichtiges Detail ist schon mit der Besetzung ins Spiel gekommen: die Akzente. Nicolas Brieger als Offizier ist
mit dem Französischen hörbar vertraut, aber ein feiner deutscher Akzent bleibt ihm eigen. ähnlich verhält es
sich mit Inna Petcheniouk als Marcelle, deren expressiver Gestus und vage östlicher Akzent klare Signale von Fremdheit
aussenden. Nur die Schweizerin Marie-Claude Chappuis singt ausdrucksreich, akzentfrei und mit vorbildlicher
Textverständlichkeit die romantischen Lieder. Es ist atemberaubend, wie viel Selbstbehauptung und wie viel
Außenwelt in solchen Details eingefangen werden kann...
Frankfurter Rundschau

Dans sa mise en scène, il alterne le jeu des pénombres successives et du vrombissement des avions,
au chant d'une Marie-Claude Chappuis, touchant aux sommets de l'émotion. Dès les premiers instants, la complicité
 scénique des trois protagonistes est évidente. Entre l'intimité des deux femmes et la toute puissance
de l'officier, maître de la destinée de ses prisonnières, un fossé semble infranchissable.

Mais, l'admiration du théâtre va vers la mezzo fribourgeoise Marie-Claude Chappuis dont le chant sublime
 les Lieder de Schubert, Schumann ou Wolf. La jeune femme est constamment sur le fil du rasoir, déchirant son
âme pour la musique. Bouleversante d'un bout à l'autre du spectacle, elle s'offre à son chant avec
une générosité artistique peu commune.
Resmusica, Jacques Schmitt, 11. Mai 2009

J.S. Bach: Matthäus-Passion mit R. Chailly in Leipzig und London, April 2009
Most of the soloists were excellent, but special praise must go to mezzo-soprano Marie-Claude Chappuis.
Chappuis sang her first aria "Buss und Reu" with just the right degree of stoical resolution as befits
 a denunciation of a women who disputed the use of ointment for the Saviour's grave in the opening "Anointing
in Bethany" section. Similarly her "Können Tränen meiner Wangen" lamenting on the scourging
of Christ under Pilate had the right sense of human pathos.
Even if she didn't quite match the alto richness of a Christa Ludwig, she more then made up for it with her
clear, expressive German diction, her clarity and superbly apt phrasing for each aria.
The Opera Critic, 6. Mai 2009

...let alone with the context and the angelic singing of Marie-Claude Chappuis.
The Spectator, Michale Tanner, 7. Mai 2009

der Rest der glanzvollen Besetzung ist aus Leipzig bekannt: Marie-Claude Chappuis satter Alt...,
Leipziger Volkszeitung,  Peter Korfmacher, 7. April 2009

...deserves special mention, as does Marie-Claude Chappuis for her sublimely floated "Erbarme dich" and the other mezzo arias.
The Sunday Telegraph, John Allison, 12. April 2009

The arias are the emotional climacterics of the piece, and all Chailly's soloists, not least the women,
alto Marie- Claude Chappuis understood well how the words and all they communicate must take precedence.
The Inndependent, Edward Seckerson, 13. April 2009

... but it was Marie-Claude Chappuis who stood out for her vivid expressivity in arias such as "Können Tränen".
The Daily Telegraph, Paul Gent, 7. April 2009

G.Ph. Telemann: Brockes-Passion, harmonia mundi mit René Jacobs, März 2009
Besonders gelungen ist Marie-Claude Chappuis charaktervolle Zeichnung der Judas Partie
(Rezitativo, Aria und Accompagnato nr. 49-51) die für mich zum Höhepunkt der Aufnahme zählt.
Klassik.com, Dr. Stefan Drees, 20. März 2009

J. Haydn: Arianna a Naxos und 2 Haydn Lieder mit Trevor Pinnock
Leipzig, Gewandhaus, März 2009
Solistin ist die fantastische Marie-Claude Chappis, die die Palette zwischen Sinnlichkeit und Affektenlehre
auskostet. Sie ist es auch, die im zweiten Teil gemeinsam mit T. Pinnock zwei englische Lieder Haydns
interpretiert - mit Stilsicherheit, Frische und perfekter Stimmkultur.
Leipziger Volkszeitung, Tanja Böhme-Mehner, März 2009

Sonntag 8. Februar 2009 feierte die Mezzosopranistin Marie-Claude Chappuis
in der Aula der Uni Freiburg mit einem Recital ihre zehnjährige Bühnentätigkeit.

Die Freiburger Sängerin Marie-Claude Chappuis ist mit dem hervorragend disponierten Pianisten David Cowan
in der Aula der Uni aufgetreten. Cowan hat Chappuis’ bezaubernde Stimme einfühlsam und in
bescheidener  Zurückhaltung begleitet.
Chappuis selber kommt oft spitzbübisch daher, dann wieder grazil und in tänzerischer Anmut, bisweilen auch kühl
und reserviert, um plötzlich mit fast diabolischem Gesichtsausdruck die ganze Palette musikalischer und
schauspielerischer Ausdruckskraft zu zelebrieren.

Meisterin der Koloratur
Die Koloratur scheint sie zu lieben und,  sie beherrscht sie. In «Parto, parto» aus «La Clemenza di Tito» von Mozart und in
«Non più mesta», Angelinas Glanznummer in Rossinis Aschenbrödel, fuhr sie die ganze Stufenleiter des
mittelstimmigen Tongehäuses mit fast schwindelerregender Sicherheit hinauf und hinunter. Das Publikum
verdankte es ihr mit stürmischem Applaus.

Liebeserklärung an die französische Oper
Auch in der französischen Opernliteratur ist Chappuis beheimatet.  Mignon war zauberhaft, Carmen
sehr sicher mit aufreizend schönen Glissandi, und in Chabriers «L’Etoile» zündete sie ein Feuerwerk erster Güte.
Im «Rondo du Colporteur» brodelte die Gerüchteküche hör-, spür-und sichtbar. Zwei Zugaben stellten das
verzauberte Publikum schliesslich zufrieden, die eine ihrer Mutter gewidmet, die andere dem momentan
grassierenden Schnupfen …

Auf allen Bühnen Europas zuhause
Die gebürtige Freiburgerin ist auf vielen Opernbühnen Europas daheim, und dies bei stetem künstlerischem
Vorwärtsstreben. In einem Interview mit der Tageszeitung «La Liberté» sagt sie, dass ein Künstler sich immer
weiterentwickeln muss, dass Stillstand auch hier Rückschritt bedeute. Sie zähle dabei auf ihre Leidenschaft
und sei stets dankbar für das grosse Privileg, das sie in diesem faszinierenden Beruf geniesse. Chappuis ist
in der Welt der Oper ebenso zu Hause wie im Oratoriengenre oder im Lied, dem sie jeweils in Freiburg ein
eigenes Festival widmet. Diesen Sommer findet es vom 1. bis 5. Juli statt.
Marcel Crottet «Freiburger Nachrichten» Schweiz

Bachs h-Moll-Messe in der Kölner Philharmonie 12.10.2008
Ton Koopman dirigiert Bachs h-Moll-Messe in der Kölner Philharmonie, gestützt auf seine singulären
Ensembles Amsterdam Baroque Choir und Amsterdam Baroque Orchestra. Die Musiker übertrugen
das sakrale Werk gekonnt in die weltliche Umgebung, ohne, dass es dabei seinen Charakter verlor

Man könnte die Aufführung, die in ihrer Perfektion übrigens nie den Gedanken an Berechtigung oder Sinn
der (hier gepflogenen) historischen Musizierpraxis aufkommen ließ, Takt für Takt beschreiben, die polyphone
Transparenz würdigen, die künstlerische Grundhaltung einer total uneitlen chorischen Souveränität,
die herzliche übereinstimmung von Singstimmen und Orchester, die wunderbaren Vokalsolisten
Lydia Teuscher (Sopran), Marie-Claude Chappuis (Alt), Jörg Dürmüller (Tenor) und Klaus Mertens (Bass) -
die Erinnerung an dies alles spendete in jeder Minute Dankbarkeit, Freude und Glück

Bachs h-Moll-Messe in der Kölner Philharmonie 12.10.2008
Ein Gipfel aus diesen Achttausendern aber muss unbedingt hervorgehoben werden:
die Arie „Agnus Dei“. Wie da Violinen, Continuo und Solo-Alt über die Sünden der Welt meditierten, klagten
und bangten, war das denn doch wieder Glaubensgewissheit, Gottesbeweis und Gottesdienst in einem.
Allem weltlichen Ambiente zum Trotz..
Kölner Stadt-Anzeiger, Gerhard Bauer 13.10.2008

32.INNSBRUCKER FESTWOCHEN,Himmlische Arien, 14.08.2008
Affektgeschwängerte Arien und ein fein ziselierter Instrumentalpart malen da ein musikalisches Andachtsbild:
Wie die große Sünderin die Füße Christi salbt, während himmlische und irdische Liebe um ihre Seele kämpfen
Drei Sänger dominierten die Wiedergabe im Innsbrucker Congress: Marie-Claude Chappuis als Amor Terreno
mit farbig eingesetztem Mezzo (und viel Humor), Lawrence Zazzo als Amor Celeste mit klangprächtigem
Countertenor sowie Lydia Teuscher (Maddalena) mit jugendlich süßem Sopran René Jacobs spornte
seine exzellente Musikerschar zu lebendig-plastischem Spiel, das Publikum war begeistert.
Wiener Zeitung 15.08.2008

Styriarte,  Die Steirischen Festspiele, in Graz
Wolfgang Amadeus Mozart «Idomeneo», Rè di Creta,   Juli  2008.

...doch auch Marie-Claude Chappuis als Idamante sang dermaßen herzbewegend schön, dass man  am liebsten die Zeit angehalten hätte...
Der Opernfreund" H. J. Rauschecker

Am Anfang das dicke Lob:
Harnoncourt lieferte eine hoch konzentrierte Dirigentenleistung der Extraklasse
Er agierte beinahe vier Stunden hellwach, hochemotional und präzise – total harmonisch und in seinem Element...
...Marie-Claude Chappuis sang und spielte – besser “verkörperte” – den Idamante mit berührender emotionaler Intensität, die alle anderen Sänger übertraf...
«Idomeneo» Interview Kronen Zeitung

Neptuns Orakel dröhnt aus der Finsternis
Nikolaus Harnoncourt hatte sich beim Styriarte-Festival in Graz zum Ziel gesetzt, das Stück von aller Patina und den
Verunstaltungen durch zweihundert Jahre Theateralltag zu befreien. Zu diesem Zweck stellte er sich sogar
den Regiestuhl neben das Dirigentenpult. „ (…) eine ausnahmslos überzeugende Solistenriege: Saimir Pirgu
als kraftvoller Idomeneo Marie-Claude Chappuis als innig-berührender Idamante...
Frankfurter Allgemeine Zeitung Christian Wildhagen, Graz, 04. Juli 2008

„Die Besetzung: sensationell (…) Saimir Pirgu (Idomeneo), Marie-Claude Chappuis (Idamante) … singen und spielen vorzüglich. Wie sie leiden, schmachten, rasen, jubeln oder den Tod herbeisehnen. (…) Der Grazer „Idomeneo“ ist ein Jahrhundertereignis.“
Frankfurter Rundschau, 04. Juli 2008

„In den Ensembles findet fast jeder Einsatz sein eigenes Zeitmaß, wodurch die verschiedenen
Temperamente noch plastischer werden: der jünglinghafte Idamante von Marie-Claude Chappuis (…)“
Neue Zürcher Zeitung, 04. Juli 2008

Der Mozart-Coup
Triumph für Vater und Sohn Harnoncourt: "Idomeneo" in der Grazer List-Halle.
Oper - Mozarts »Idomeneo« bei der »Styriarte«
Ein großer Opernabend. Wegen der starken theatralischen Wirkung, idealen Besetzung, musikalischen Intensität.
Wunderbar das innige Singen und konzentrierte Spiel von Julia Kleiter (Ilia) und Marie-Claude Chappuis
(Idamante), effektvoll Eva Mei als Elettra.
Karl Löbl für österreich vom  03. Juli  2008

Theatralische Klangeffekte
Styriarte Graz: Nicolaus und Philipp Harnoncourt

Inszenieren "Idomeneo"Von Bernhard Doppler
Eine Art szenisch erweitertes Konzert ist die "Idomeneo"-Aufführung von Nicolaus und Philipp Harnoncourt in Graz.
Es sind bei dieser Inszenierung weniger die visuellen Eindrücke, die tief gehen, sondern die dramatischen Effekte der
Musik. Was in Graz aber vor allem besticht, sind die jungen Sänger: der betörende Mezzo von Marie Claude Chappuis (Idamante),
der warme Sopran von Julia Kleiter - und am meisten bejubelt Saimir Pirgu - selbst in den Verzierungen und Koloraturen
in seiner Schizophrenie und Verunsicherungen - sehr kraftvoll - hin und hergetrieben. Das Theater des Kreterkönigs Idomeneo,
der seinen Sohn opfern muss, fand in der Stimme statt.
Deutschlandradio Kultur

…Il peut s’appuyer sur une équipe vocale homogène et de haut niveau: l’Ilia de Julia Kleiter – la découverte de la soirée – magnifique de clarté et de luminosité, qui forme un couple vocal idéal avec l’Idamante de Marie-Claude Chappuis, toute en finesse et demi-teintes, ainsi que l’Idomeneo vaillant de Saimir Pirgu…
ConzertoNet.com, Claudio Poloni

Einnehmend in Gesang und Darstellung ist die Westschweizer Marie-Claude Chappuis als Idamante. Ein Jüngling zum Liebhaben! Sie gibt der Kastratenrolle Leben, singt schön und erobert sich als Königssohn zum guten Ende seine begehrte Ilia.
Christian J. Huber Der neue Merker

Marie-Claude Chappuis verzichtet in der schwierigen Hosenrolle des Idamante auf jede theatralische Virilität; sehr jung, sehr unschuldig, sehr glaubwürdig wirkt sie, und sie hat dabei jenen langen Atem, den Mozart beim Kastraten der Münchner Uraufführung 1781 so schmerzlich vermisste.
Susanne Kübler Tages Anzeiger

„Marie-Claude Chappuis berührt als Idamante und singt mit wunderbarer Phrasierung.“
Die Furche, 10. Juli 2008

„überhaupt wird vom Ensemble vortrefflich gesungen. Marie-Claude Chappuis (Idamante) berührt mit klarem Mezzosopran
und agiert knabenhaft, zuweilen schelmisch und doch unschuldig.“
News, 10. Juli 2008

Musikalisch glanzvoller "Idomeneo" unter Harnoncourt in Graz Höhepunkte in der musikalisch glanzvollen Inszenierung setzten der albanische Tenor Saimir Pirgu in der Titelrolle sowie
die französische (Korr. Schweizerin) Sängerin Marie-Claude Chappuis als Idamante und die junge deutsche Sopranistin
Julia Kleiter als Ilia. Grossen Applaus ernteten auch die Solisten des Züricher Balletts sowie Philipp Harnoncourt
als Co-Regisseur und Bühnenbildner Rolf Glittenberg.
BAZ "Basler Zeitung"

Harnoncourts "Idomeneo" begeistert
Mit Begeisterung haben die Besucher beim Festival "styriarte" in Graz die Premiere der Mozart-Oper
"Idomeneo" unter Leitung von Nikolaus Harnoncourt aufgenommen. Dabei sicherte sich der
78-jährige Dirigent mit seiner ersten Regiearbeit den großen respekt des Publikums. Höhepunkte in der
musikalisch glanzvollen Inszenierung setzten der albanische Tenor Saimir Pirgu in der Titelrolle sowie die
französische (Korr. Schweizerin) Sängerin Marie-Claude Chappuis als Idamante und die junge
deutsche Sopranistin Julia Kleiter als Ilia.
(dpa) Hessische/Niedersächsische Allgemeine (HNA) vom 03. Juli  2008

„Hochkarätiges Ensemble“
Kleine Zeitung, 03. Juli 2008

„Auch musikalisch präsentierte sich der „Idomeneo“ vom Feinsten: Mit Julia Kleiter (Ilia) und Marie-Claude Chappuis
(Idamante) stand ein sängerisch und schauspielerisch ausdrucksstarkes Liebespaar im Zentrum.“
Reutlinger General-Anzeiger, 03. Juli 2008

VOM FEINSTEN
Mit dem »Idomeneo« verbindet Nikolaus Harnoncourt eine besondere Herzensbeziehung: War es doch Mozarts
Oper, die seine intensive Beschäftigung mit dem Komponisten Ende der 1970er Jahre einleitete. Nach Zürich
und Wien übernahm der Dirigent - unterstützt von seinem Sohn Philipp - nun in seiner dritten Produktion
bei den steirischen Festspielen »styriarte« in Graz erstmals auch die Regie. Der »Idomeneo« lag also ganz in
Harnoncourt'scher Familienhand und zwar so, »wie Mozart ihn wollte«, in der Münchner Uraufführungsfassung von
1781, also mit Balletteinlagen... Auch musikalisch präsentierte sich der »Idomeneo« vom Feinsten: Mit Julia Kleiter (Ilia) und
Marie-Claude Chappuis (Idamante) stand ein sängerisch und schauspielerisch ausdrucksstarkes Liebespaar im Zentrum. Eva Meis kokette Elettra erwies sich darstellerisch erstaunlich wandlungsfähig...
Reutlinger General-Anzeiger vom 03. Juli 2008,  Ulrike Aringer-Grau, Graz Das kleine Glück der geschlossenen Augen "styriarte": Nikolaus Harnoncourt versuchte sich bei Mozarts "Idomeneo" erstmals als Regisseur
...berührt war man von Marie-Claude Chappuis als Idamante und Julia Kleiter als opferungsbereite Ilia...
Salzburger Nachrichten vom 03. Juli 2008,  Ernst P. Strobl>
Jubel für Harnoncourts "Idomeneo" in Graz
Frenetischen Applaus gab es gestern nach der knapp vierstündigen Vorstellung für Nikolaus Harnoncourt und
den Concentus Musicus, für das durchwegs begeisternde Sängerensemble, für den schlichtweg großartigen
Schönberg Chor unter Erwin Ortner, aber auch für das Zürcher Ballett unter Heinz Spoerli, die am Ende jene Tänze
in klassischer Sprung- und Spitzenmanier aufführen, die sonst unterschlagen werden und die Harnoncourt
diesmal zur Gänze bringt, denn er ist ja überzeugt, es handelt sich beim "Idomeneo" nicht um eine italienische
Opera seria, sondern um ein Stück im Stil einer französischen tragedie lyrique.
Julia Kleiter ist die trojanische Königstochter Ilia, die in den kretischen Königssohn Idamante verliebt ist.
Herausragend in dieser Rolle Marie Claude Chappuis neben der dramatischen Elektra von Eva Mei...
ö1 ORF Inforadio, ö1 Morgenjournal, Gernot Zimmermann, 02. Juli  2008, 7.00 Uhr

„Marie-Claude Chappuis singt einen Idamante der Zwischentöne. Der Prinz ist nicht Held, sondern verunsichertes,
halbes Kind: Ein Cherubino, den es nach Kreta verschlagen hat.“
Kronen Zeitung, 03. Juli 2008

„Dieser [Idamante] ist mit Marie-Claude Chappuis die berührende Seele des Abends.“
Kurier, 03. Juli 2008

Glanzvoller «Idomeneo» unter Harnoncourt in Graz
Besonders die Schweizer Mezzosopranistin Marie-Claude Chappuis findet in diesem Rahmen zu
intensivem Spiel und großer Bühnenpräsenz. Ihr Idamante ist ein in Momenten fast kindlicher,
jungenhafter Königssohn, der am Konflikt mit dem abweisenden Vater und der zunächst unglücklichen
Liebe zu Ilia reift und schließlich bereit ist, sich für das unter der Rache der Götter zerbrechende Volk zu opfern.
www.sueddeutsche.de 02. Juli 2008 / dpa

Glanzvoller «Idomeneo» unter Harnoncourt in Graz
Höhepunkte in der musikalisch glanzvollen Inszenierung setzten der albanische Tenor Saimir Pirgu in der
Titelrolle sowie die französische (Korrektur; Schweizerin!) Sängerin Marie-Claude Chappuis als Idamante und die
junge deutsche Sopranistin Julia Kleiter als Ilia. Großen Applaus ernteten auch die Solisten des Züricher
Balletts sowie Philipp Harnoncourt  als Co-Regisseur und Bühnenbildner Rolf Glittenberg.
www.badisches-tagblatt.de 02. Juli 2008  / sda


„(…) das ohne Einschränkung exzellente Ensemble um Marie-Claude Chappuis als Idamante (…)“
Deutschlandfunk, 02. Juli 2008


Leidenschaften in Neptuns Reich
Nikolaus Harnoncourt dirigiert und inszeniert Mozarts «Idomeneo»
Ein "Plädoyer gegen die Sanktionsreligionen", ein Appell an das Verständnis gegen die Angst - so begreift
der österreichische Musiker Nikolaus Harnoncourt Mozarts frühe Oper "Idomeneo". Um seine eigenwillige Auffassung
zu realisieren, hat Harnoncourt nun für das Festival "styriarte" in Graz nicht nur zum Taktstock gegriffen,
sondern erstmals auch selbst Regie geführt.
Besonders die Schweizer Mezzosopranistin Marie-Claude Chappuis als Idamante findet in diesem Rahmen zu
großer Bühnenpräsenz. Ihr gegenüber steht mit dem Albaner Saimir Pirgu
ein junger, doch von Krieg und Schicksal gezeichneter Idomeneo.
Westfälische Nachrichten vom 04. Juli  2008, suerlanh

Neptun ist überall
Musikalischer Glanz in Graz: Harnoncourts Regiedebüt mit «Idomeneo»
Ein "Plädoyer gegen die Sanktionsreligionen", ein Appell an das Verständnis gegen die Angst - so begreift der
Dirigent Nikolaus Harnoncourt Mozarts Oper «Idomeneo». Entgegen der Tradition ist das Drama um den Kreterkönig,
der seinen Sohn Idamante opfern soll, für ihn keine italienische Opera seria, sondern an der
französischen lyrischen Tragödie orientiert...
..Besonders die Schweizer Mezzosopranistin Marie-Claude Chappuis findet zu intensivem Spiel. Ihr Idamante
ist ein fast kindlicher, jungenhafter Königssohn, der am Konflikt mit dem abweisenden Vater und der zunächst
unglücklichen Liebe zu Ilia reift. Ihm gegenüber steht mit dem Albaner Saimir Pirgu ein junger, von Krieg und Schicksal
gezeichneter Idomeneo. Er gestaltet seine Passagen mit Intensität und Spannung...
Darmstädter Echo vom 04. Juli 2008, Von Irmgard Rieger

Prächtiges Regiedebut
Nikolaus Harnoncourt inszenierte und dirigierte «Idomeneo» in Graz
Schon während der Ouvertüre schlagen sie sich – wie im Cuvilliés-Theater – die Köpfe ein. Nikolaus Harnoncourt
kennt kein Pardon: „Ich will irgendwann einmal selbst scheitern, wenn schon gescheitert werden muss“.
Deshalb präsentierte er jetzt zur Eröffnung der Grazer Styriarte seine erste, und wie er glaubhaft versichert, auch letzte Opernregie.
…Geradezu eine Entdeckung : der erst 27-jährige albanische Tenor Saimir Pirgu in der Titelparti. Julia Keiter (Ilia)
und Marie-Claude Chappuis (Idamante) waren ein rührendes Liebespaar…Harnocourt selbst entfachte am Pult eine
hinreissende Spannung. Die Musik lebte in jedem Takt, die Rezitative waren mit wunderbarer Eindringlichkeit begleitet...
ABENDZEITUNG,  04. Juli .2008, Volker Boser

„Harnoncourts wichtigste inszenatorische Leistung liegt ohne Zweifel in der Arbeit mit den exzellenten Sängern.
Sie singen weit mehr als Noten, sondern jedes Wort, jedes Gefühl in all seinen Ambivalenzen. (…)
ein Triumph des Musiktheaters, wie wir ihn schon lange nicht erlebt haben.“
Die Welt,  03. Juli 2008

„Harnoncourts Idamante aber wird gesungen werden von einem engelhaften Mezzosopran: Marie-Claude Chappuis“
Vorbericht Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung Zeitung, 22. Juni 2008

Dirigent Nikolaus Harnoncourt führte in Graz bei Mozarts "Idomeneo" erstmals Regie.
Er inszenierte vor allem die Musik.

Möglichst nahe an die Uraufführung von "Idomeneo" zu gelangen, war das Ziel von Nikolaus Harnoncourt.
Dafür hätte er keinen Regisseur gefunden, sagte er im Vorfeld. Also hat er selbst inszeniert.
...Stimmliche Strahlkraft haben die Sänger ausreichend...Idomeneo, der den Göttern seinen Sohn
Idamante Opfern soll, eine Naturgewalt.  Dieser ist mit Marie-Claude Chappuis die berührende Seele des Abends.
Kurier vom 03. Juli. 2008, Ressort Kultur, Autor Judith Schmitzberger

Salzburger Festspiele
" IL MATRIMONIO INASPETTATO"
Giovanni Paisiello, mit Riccardo Muti, 9. und 11. Mai 2008

..Les voix rehaussent davantage un théâtre vocal qui, s'il est parfois caricatural, permet cependant la vérité du sentiment. De ce point de vue, les deux barytons (Tulipano père et fils) sont excellents et la (vraie) Contessa di Sarzana (Marie-Claude Chappuis), reste bouleversante en femme humiliée, outragée (finalement épousée)...
ClassiqueNews par Alexandre Pham

...und die sopranstrahlende Reifrock-Schnepfe Marie-Claude Chappuis, nahmen den Gag-Ball gern auf und übersetzten
die Paisiello-Mechanik in graziös körperliche wie vokale Beweglichkeit...
Weltonline von Manuel Brug

...Den hohen, noblen und souveränen Stand ihrer Rolle trug Marie-Claude Chappuis als Gräfin dafür auch gleich in der Stimme...
Kurier, Judith Schmitzberger, 11. Mai 2008

...La compagnia, quattro persone, di alto livello, è composta da ..., Marie-Claude Chappuis...
Corriere della Sera, Paolo Isotta, 11. Mai 2008

...e nobile la Marchesa die Marie-Claude Chappuis...
Il Giornale, Piera Anna Franini, 11. Mai 2008

...Der Sohn soll die Gräfin von Sarzana (stimmlich brillant Marie-Claude Chappuis) heiraten...
Süddeutsche Zeitung, Helmut Mauro, 13. Mai 2008


...Marie-Claude Chappuis gab die Gräfin von Sarzana als Dame von Stand im Auftreten ebenso souverän wie in der Stimmbeherrschung...
Heidemarie Klabacher/DER STANDARD, Print-Ausgabe, 13. 5. 2008

Telemann: Brockes-Passion, Konzert im Festspielhaus Baden-Baden mit René Jacobs 21.03.2008
...Die ursprünglich für einen Kastraten geschrieben Arien oblagen hier der Mezzospranistin Marie-Claude Chappuis, die einen
starken Eindruck durch ihre hohe dramatische Gestaltungskunst hinterließ, aber auch einen überaus schönen Klang zu formen verstand...
Fazit: Telemanns intensiv bildhafte Musik wurde hier faszinierend in Klang gesetzt. Mit seinen Solisten und Ensembles
hat Jacobs einen Schatz wiederentdeckt und diesen in Hochglanz präsentiert.
"Online Musik Magazin" Christoph Wurzel

Telemann: Brockes-Passion, Konzert im Konzerthaus Berlin mit René Jacobs 16.03.2008
"Schwer zu sagen, wer am Coup de Théatre des "Zeitfenster-Festivals für Alte Musik" im Konzerthaus den grössten Anteil hat:
G.Ph. Telemann, der Textdichter Barthold Heinrich oder die Mezzosopranisten Marie-Claude Chappuis. In der Rolle des im Selbsthass
delierenden Judas' tut Chappuis auf kongeniale Weise das, womit schon die barocken Meister punkteten: sich vorbehaltlos
in jede Figur des Passionsgeschehens hineinsteigern."
Der Tagesspiegel, Carsten Niemann, 18. März 2008



Luxembourg. Grand Théâtre 22-I-2008
L’étoile de Chabrier

...La distribution réunie pour cette reprise est très nettement dominée par deux chanteuses, Magali Léger, superbe Laoula
rescapée des représentations de l’hiver 2005-2006 à Nantes et à Angers,
ainsi que Marie-Claude Chappuis, mezzo-soprano suisse qui semble posséder la voix idéale pour le rôle de Lazuli.
Son mezzo léger, à l’aigu facile et brillant, de même que son investissement scénique dans le rôle, ont fait des apparitions
de ce charmant personnage de travesti un moment de pur bonheur...
ResMusica par Pierre Degott (27/01/208)

Genève. Grand-Théâtre. 13-IX-2007
Les Troyens (Hector Berlioz) La grandeur des petits, des obscurs, des sans grades

Au rang des belles prestations, celle de Marie-Claude Chappuis (Anna vibrante et lumineuse) est a saluer parmi
une distribution sans faute...
Tribune de Genève, 15. September 2007, Sylvie Bonier

On retient plus particulièrement Marie-Claude Chappuis qui, par sa présence et son chant, place Anna au premier plan
à cent lieux des contraltos trémulantes - Elena Zaremba en 2006 à l'Opéra Bastille par exemple - coupables de
travestir la soeur de Didon en vieille fille ingrate
Forumopera.com, September 2007

"...Quelle réussite ! Réussite de l’orchestre, d’'abord, formé d’instruments modernes mais souple, léger, puissant, coloré tout à la fois,
grâce à la direction toujours précise et toujours affectueuse de John Nelson, qui est décidément l'un des grands chefs de notre temps.
Réussite de la distribution, ensuite, qui contribue à donner son sens au grand flot de la musique grâce à une diction parfaite
de la langue française dans la bouche de chacun des protagonistes, grâce aussi à des rapports entre les timbres qui contribuent
à la couleur de l’ensemble. Entendre deux mezzos aussi dissemblables qu’Anne-Sophie von Otter (Didon)
et Marie-Claude Chappuis (Anna) est un plaisir pour les sens et pour l’esprit..."
Par Christian Wasselin

... La surprise vient de la jeune mezzo-soprano fribourgeoise Marie-Claude Chappuis (Anna) qui donne une rare étoffe dramatique de premier ordre au personnage de la sœur de Didon. Remarquablement préparée, elle s’empare de l’espace scénique avec une étonnante autorité pour une aussi jeune interprète. La voix admirablement conduite, la prononciation sans faille, le sérieux infaillible, de productions en production, la jeune femme s’affirme comme l’un des plus sûrs espoirs de l’art lyrique. à suivre !
www.resmusica.com

Festival d’Aix 2007 [Aix-en-Provence] L'"Orfeo" de Monteverdi enchante Aix de sa fable
LE MONDE Marie-Aude Roux, Article paru dans l'édition du 08.07.07.

Cet Orfeo mis en scène par la chorégraphe américaine Trisha Brown et dirigé par le Belge René Jacobs a triomphé pour la première fois au printemps 1998 au Théâtre Royal de La Monnaie, à Bruxelles. Un succès que confirmait quelques semaines plus tard la reprise du spectacle au Festival d'Aix-en-Provence (Le Monde du 16 juillet 1998). Bernard Foccroulle était alors directeur de La Monnaie.

Neuf ans plus tard, c'est à la tête d'Aix-en-Provence qu'il reprogramme cet Orfeo devenu mythique - Grand Prix du meilleur spectacle lyrique 1998, des reprises un peu partout, et un DVD bardé de récompenses paru chez Harmonia Mundi.
De fait, Orfeo n'a pas pris une ride. Le secret de cette jouvence artistique ? Trisha Brown et René Jacobs ont observé à la lettre l'esprit de ce qui, en 1607, n'est pas encore un opéra, mais se dit "fable en musique". Un lieu fragile, où poésie, geste, musique, battent d'un même coeur. Le Prologue et les deux premiers actes sont toujours un pur enchantement. Sur fond de lune féerique, "La Musica" vole, écrivant dans les airs une partition de chair et d'os (Katrina Thompson Warren a la grâce des "putti" des églises baroques).

....Promesses tenues aussi pour les solistes de l'Académie européeenne de musique, Eurydice en tête (gracieuse Ruby Hughes).
Chantée par le chaud mezzo de Marie-Claude Chappuis, La Messagère (alias La Musica, alias l'Espérance) émeut

La poétique du Merveilleux, par Michèle Tosi (12/07/2007) Produit en 1998 au Théâtre royal de la Monnaie de Bruxelles, le spectacle de l’Orfeo (disponible aujourd’hui en DVD) qui conjugue les talents de René Jacobs et Trisha Brown restera sans doute une des plus belles versions de l’ouvrage du maître de Mantoue. En fin connaisseur de cette époque charnière de l’histoire de la musique, René Jacobs sait allier l’authenticité d’un style (se fiant aux deux éditions de 1609 et 1615 de la partition) à la restitution inventive dans le choix des couleurs instrumentales et la réalisation harmonique du continuo, un domaine qui laisse une place considérable à l’improvisation. Tout ici est merveilleusement pensé pour servir l’histoire, accompagner les personnages, de la lumière à l’ombre des ténèbres et diversifier les instruments de « dessus » : violons, flûtes à bec… dans les ritournelles dansées...

..Particulièrement séduisante, Marie-Claude Chapuis, dans son triple rôle de La Musique, de la Messagère et de l’Espérance, incarne successivement la grâce, la féminité et la messagère funeste interprétant l’une des pages les plus profondément douloureuses de l’histoire de l’opéra...

Monterverdis "ORFEO" konzertant im Theater an der Wien 25. Febr. 2007
eine Feier zum Jubiläum der Gattung Oper. ..der expressiv geführte, warm timbrierte Mezzo von Marie-Claude Chappuis
als Messaggiera und Proserpina...
Gerhard Kramer (Die Presse)

...Aus dem homogenen Ensemble stachen noch zwei weitere Solisten heraus:
Marie-Claude Chappuis steuerte ihren jungen, warmgetönten Mezzo bei, von „Gewicht“ und
„Flexibilität“ gerade recht fürs barocke Fach...
www.operinwien.at

«Il matrimonio inaspetato»
Teatro Municipale di Piacenza   voir PDF


Zurich Opéra
Emmanuel Chabrier: L’étoile, déc. 2006

Mis en scène par David Pountney
...Signalons la voix de la Suissesse Marie-Claude Chappuis, brillante
dans le rôle de Lazuli – un talent à suivre. Une découverte à ne pas manquer...
www.appunto.ch/ 28.11.2006 / Roger Cahn

...Die grosse überraschung:
Die junge Schweizerin Marie-Claude Chappuisals pfiffiger Hausierer.
Sie prägt - zusammen mit dem Franzosen Jean-Luc Viala als König Ouf I. - den Abend.
Tages-Anzeiger 28. 11. 2006 / Thomas Meyer

...Dagegen steht das erotisierte Liebespaar: Marie-Claude Chappuis als Lazuli und Anne-Catherine Gillet
als Laoula. Alles sehr fein im Gesangsstil - es erweist sich als günstig, dass man die
Besetzung grösstenteils aus dem französischen Sprachraum geholt hat, nicht nur der Dialoge,
sondern gerade auch der Stimmführung und des Timbres wegen...
Stuttgarter-Nachrichten

...Marie Claude Chappuis (Lazuli) und Anne-Catherine Gillet (Laloula) sind ein vitales, vokal glitzerndes
Liebespaar. Es lebe die Sinnfreiheit der Operette. Wir haben sie nötiger denn je...
WELT.de 1995 - 2006

Le Couronnement de Poppée au BFM de Genève en septembre 2006
...Chacun n'en fait qu'à sa tête, à commencer par l'impératrice Octavie. Sublime Marie-Claude Chappuis,
au chant et à l'expressivité bouleversants...
LE TEMPS, Genève

..comme sous le choc d'Octavie (magnifique Marie-Claude Chappuis), versant à la fois rude
et touchant d'une féminité portée avec sensualité par sa rivale...
TRIBUNE DE GENEVE

Konzert mit dem Giardino Armonico, 9. Juli 2006, Trigonale Finale in St. Veit
Dann sang Marie-Claude Chappuis, vom Ensemble ideal begleitet, zwei Arien aus Händels "Serse" und
"Rinaldo" sowie die Kantate "Arianna a Naxos" von J. Haydn und gestaltete sie mit ihrem dunkel gefärbten Mezzo
stilsicher und ausdrucksstark. Jede Phrase wurde wunderbar ausgeformt, sauberst waren die Koloraturen.
Kleine Zeitung, 11. Juli

Ritorno d'Ulisse in patria / Penelope, Genève, Juni 2006
Rendue par la voix chaude et veloutée de la Suissesse Marie-Claude Chappuis, une Pénélope
désespérée et fidèle à Ulysse tire sur trois cibles les flèches de la vie, sorte de rythme ponctuant
sa détermination de femme seule mais forte.
Le Dauphiné libéré, Claire Haugrel, 24. Juni 2006

Après "La clémence de Titus", on retrouve la mezzo fribourgeoise Marie-Claude Chappuis,
cette fois dan le rôle de la fidèle Pénélope où elle confirme ses immenses
qualités dans ce type de répertoire.
Le courrier, Michel Perritaz, 14. Juni 2006

...Chappuis und Spicer bringen auch sängerisch das grösste Potential ein...
Neue Zürcher Zeitung, Marianne Zelger-Vogt, 14. Juni 2006

La Clemenza di Tito (W. A. Mozart) Genève mai 2006
"...le Sextus de Joyce Di Donato et l'Annius de Marie-Claude Chappuis se révèlent tous deux
aussi éblouissants que touchants."
Sylvie Bonier (La Tribune de Genève)

"...La mezzo-soprano suisse Marie-Claude Chappuis (Annius) impressionne.
Pour son premier rôle d'importance sur la scène du Grand-Théâtre de Genève, cette musicienne
jusqu'au bout des ongles, parfaite actrice, a démontré une préparation en tous points impeccable.
Avec un instrument vocal clair, coloré, disant son texte avec une diction irréprochable, sa prière
à Sextus pour qu'il ne quitte pas Titus (« Torna di Tito al lato ») et son imploration à Titus pour qu'il épargne
Sextus (« Tu fosti tradito ») laisseront le souvenir de moments parmi les plus émouvants qu'ont
connus la scène de ce théâtre..."
par Jacques Schmitt (06/05/2006) RESMUSICA www.resmusica.com

INCORONAZIONE DI POPEA Claudio Monteverdi, Bruxelles, La Monnaie, le 10 mars 2006
"... Octavie trouve avec la la mezzo Marie-Claude Chappuis ce qui, à notre avis, est la plus belle
des voix féminines de la distribution tant par sa noblesse que par la véracité de son discours
(superbe lamento).De tous les personnages, elle est celle qui échappe le plus à la caricature et,
comme on le dit, ceci explique sans doute cela."
Alain Derouane Magazine "CRESCENDO" no 81

Staatsoper Unter den Linden Berlin «L' Incoronazione di Poppea» Februar 2006
...Da die Götter in dieser Oper keine unwesentliche Rolle spielen, sei es erlaubt, auch die Stimmen
der Sänger als göttlich oder beinahe göttlich zu bezeichnen, wie die von, pars pro toto,
Marie-Claude Chappuis (Oktavia).
Deutschlandfunk-Kultur, Christoph Schmitz

...Ottavia, die wunderbar hoheitsvoll singende und mit nobler Eleganz gewandete Marie-Claude Chappuis,
bleibt eine Königin noch im Moment ihrer Niederlage, wenn sie ihr berühmtes Lamento singt:
"A - a - a - addio, Roma!".
Berliner Zeitung

...Großes Lob verdienen die Solisten. Besonders eindringlich: Marie Claude Chappuis als verstoßene
Kaiserin Ottavia und Lawrence Zatto als untröstlicher Ottone
www.netzeitung.de

Berlioz: L'enfance du Christ, Paris, Dezember 2005
Une mention toute particulière doit être adressée à la Vierge Marie émue de Marie-Claude Chappuis
abeilleinfo.com, Jean-Philippe Dartevel, 9. Dezember 2005

Händel: Il pianto di Maria, Haydn: Arianna a Naxos
mit G. Antonini, Frankfurt, Dezember 2005

....sondern die Mitwirkung der aus Fribourg stammenden Mezzosopranistin Marie-Claude Chappuis war es, die
den Abend zum Höhepunkt werden liess. jeder Intendant eines Opernhauses, der eine solche Künstlerin
verpflichtet, dürfte sich glücklich schätzen.
FAZ, 6. Dezember 2005

Einen grossen Anteil daran hatte die exquisite Stimme von Marie-Claude Chappuis, einer
Französisch-Schweizerin, die im barocken Repertoire ihre sängerische Heimstatt gefunden hat.
Die Mezzosopranistin zeigte erlesene Koloraturen und viel technisches Geschick für die
anspruchsvolle Materie.
Frankfurter Neue-Presse, GE, Dezember 2005

Bach: Weihnachtsoratorium, Zürich, Dezember 2005
Den stärksten Eindruck hinterliess Marie-Claude Chappuis. Die junge Freiburgerin,
die u.a. 2004 unter Herreweghe in Bach Matthäus-Passion
aufgetreten war, fesselte das Publikum mit warmer Stimmgebung und mitfühlender Gestaltung,
NZZ, Thomas Schacher, 19. Dezember 2005

Die Krone gebührt der Mezzospranistin Marie-Claude Chappuis: eine junge Stimme
mit goldener Leuchtkraft in der Höhe und substantiellem Fundament auch in tieferer Alt-Lage.
Zuzuhören war da reine Wonne - ein überzeugendes Plädoyer dafür, dass bei Bach eine sonore
Altstimme einem (männlichen) Altus vorzuziehen ist.
Zürichsee Zeitung, Werner Pfister, 19. Dezember 2005

Mozart: La clemenza di Tito
Palais des Beaux Arts, Bruxelles, 15 novembre 2005

... L'Helvète Marie-Claude Chappuis est un Annio de classe et de style...
Pierre-Jean Tribot, Analcase.com

La plastique de sa ligne vocale, son timbre pulpeux aident Marie-Claude Chappuis
à camper un Annio juvénile..
Les echos, Michel Parouty

Staatsoper  Unter den Linden  Berlin «L' Incoronazione di Poppea» Februar 2006
...Da die Götter in dieser Oper keine unwesentliche Rolle spielen, sei es erlaubt, auch die Stimmen
der Sänger als göttlich oder beinahe göttlich zu bezeichnen, wie die von, pars pro toto,
Marie-Claude Chappuis (Oktavia)...
Deutschlandfunk-Kultur, Christoph Schmitz

...Ottavia, die wunderbar hoheitsvoll singende und mit nobler Eleganz gewandete Marie-Claude Chappuis,
bleibt eine Königin noch im Moment ihrer Niederlage, wenn sie ihr berühmtes Lamento singt:
"A - a - a - addio, Roma!"...
Berliner Zeitung

...Großes Lob verdienen die Solisten. Besonders eindringlich: Marie Claude Chappuis als verstoßene
Kaiserin Ottavia und Lawrence Zatto als untröstlicher Ottone
www.netzeitung.de

Konzerthalle Berlin, Grosser Saal,  Freitag 23. November 2005
..Selbst die kleine Rolle des Annius wurde von Marie-Claude Chappuis mit jugendlicher
Geradlinigkeit zur Verkörperung der Aufrichtigkeit ausgebaut.
Berliner Zeitung, Peter Uehling

Mozart: La clemenza di Tito, September 2005, Festspielhaus Baden-Baden und
Grand Théâtre de Luxembourg

...Marie-Claude Chappuis sorgte als Sesto mit warm strömendem Mezzo und großer
Ausdruckspalette besonders in der von der obligaten Klarinette begleiteten
Entsagungsarie ("Parto, ma tu ben mio") für ein ergriffenes Publikum...
Online Musik Magazin

Wirklich herausragend sang Marie-Claude Chappuis den Sesto; technisch absolut souverän, stimmlich klar
und leuchtend, deutlich und schnörkellos ausgestaltet bis ins letzte virtuose Detail, und noch dazu von einer
unaffektierten, fesselnden Bühnenpräsenz - ein Sesto wie man ihn sich wünscht!
Badische Neueste Nachrichten, 4. Oktober 2005, Wibke Gerking

Marie-Claude Chappuis sang mit feinem, runden Mezzosopran den armen Sesto, der seinen Freund Tito verrät,
um Vitellias Liebe zu gewinnen. Zu den schönsten Momenten der Aufführung zählte ihre anrührende,
musikalisch differenzierte Wiedergabe der Arie "Parto, parto".
Badisches Tagblatt, 4. Oktober 2005, Nike Luber

Aber die grandiose Marie-Claude Chappuis als Sesto hat den grossen Atem für solch weite Bögen.
Trierischer Volksfreund, 11. Oktober 2006, Martin Möller

Interprété par la très virtuose Marie-Claude Chappuis, le rôle avait une fraicheur de sentiments
ensorcelante. La cantatrice se montra brillante et bouleversante dans l'air "Parto, parto" où son sens
de la mélodie mozartienne faisait merveille.
Luxemburger Wort, 11. Oktober 2005, Hilda van Heel

Biennale barocker Weltmusik, 36. Ansbacher Bachwoche
...Marie-Claude Chappuis erzählt davon mit ihrem vollen, reich schattierten und beweglichem Alt und
ihrer vokalen Intensität .....sehr eindrücklich auch wie Chappuis die Entwicklung zum Heiteren,
Gelösten, Zuversichtlich nachzeichnet.
Frankische Landeszeitung, 1. August 2005, Thomas Wirth

... und stilistisch variable, virtuos bewegliche Mezzo-Stimme von Marie-Claude Chappuis
macht den qualitativ hochstehenden Auftakt perfekt.
Nürnberger Zeitung, 1. August 2005, Sabine Kreimendah

…Eine echte Entdeckung ist die aus Fribourg in der Schweiz stammende Mezzosopranistin Marie-Claude Chappuis,
deren stimmliche Präsenz und durchdachte Textausdeutung aus der Solokantate „Geist und Seele wird verwirret“
ein kleines Naturereignis machen, emotional und intellektuell mitreißend. Die Gegenüberstellung von Antonio
Vivaldis a-Moll-Streicherkonzert Nummer 8 aus dem „Estro Armonico“ (Opus 3) mit Bachs Ouvertüre aus der großen
C-Dur-Suite (BWV 1066) bringt dank transparenter Stimmformung und beredter Agogik vor allem die Erkenntnis, wie
flüssig und unaufgesetzt Bach französische und italienische Einflüsse in seine eigenen Kompositionen aufnahm,
ohne zum eklektischen Nachkomponierer zu werden – der genuine, authentische Tonfall bleibt erhalten…
"Fränkischer Tag" Gustl Meilenhammer

Da Capo



 
Marie-Claude Chappuis bezaubert
Am Sonntag 8. Februar 2009 feierte die Mezzosopranistin Marie-Claude Chappuis
in der Aula der Uni Freiburg mit einem Recital ihre zehnjährige Bühnentätigkeit.

Die Freiburger Sängerin Marie-Claude Chappuis ist mit dem herv orragend disponierten Pianisten David Cowan in der Aula der Uni aufgetreten. Cowan hat Chappuis’ bezaubernde Stimme einfühlsam und in bescheidener  Zurückhaltung begleitet.
Chappuis selber kommt oft spitzbübisch daher, dann wieder grazil und in tänzerischer Anmut, bisweilen auch kühl und reserviert, um plötzlich mit fast diabolischem Gesichtsausdruck die ganze Palette musikalischer und schauspielerischer Ausdruckskraft zu zelebrieren.

Meisterin der Koloratur
Die Koloratur scheint sie zu lieben und,  sie beherrscht sie. In «Parto, parto» aus «La Clemenza di Tito» von Mozart und in «Non più mesta», Angelinas Glanznummer in Rossinis Aschenbrödel, fuhr sie die ganze Stufenleiter des mittelstimmigen Tongehäuses mit fast schwindelerregender Sicherheit hinauf und hinunter. Das Publikum verdankte es ihr mit stürmischem Applaus.

Liebeserklärung an die französische Oper
Auch in der französischen Opernliteratur ist Chappuis beheimatet.  Mignon war zauberhaft, Carmen sehr sicher mit aufreizend schönen Glissandi, und in Chabriers «L’Etoile» zündete sie ein Feuerwerk erster Güte. Im «Rondo du Colporteur» brodelte die Gerüchteküche hör-, spür-und sichtbar. Zwei Zugaben stellten das verzauberte Publikum schliesslich zufrieden, die eine ihrer Mutter gewidmet, die andere dem momentan grassierenden Schnupfen …

Auf allen Bühnen Europas zuhause
Die gebürtige Freiburgerin ist auf vielen Opernbühnen Europas daheim, und dies bei stetem künstlerischem Vorwärtsstreben. In einem Interview mit der Tageszeitung «La Liberté» sagt sie, dass ein Künstler sich immer weiterentwickeln muss, dass Stillstand auch hier Rückschritt bedeute. Sie zähle dabei auf ihre Leidenschaft und sei stets dankbar für das grosse Privileg, das sie in diesem faszinierenden Beruf geniesse. Chappuis ist in der Welt der Oper ebenso zu Hause wie im Oratoriengenre oder im Lied, dem sie jeweils in Freiburg ein eigenes Festival widmet. Diesen Sommer findet es vom 1. bis 5. Juli statt.
Marcel Crottet «Freiburger Nachrichten» Schweiz

 

 

 
Mozart: La clemenza di Tito, September 2005, Festspielhaus Baden-Baden und Grand Théâtre de Luxembourg


Wirklich herausragend sang Marie-Claude Chappuis den Sesto; technisch absolut souverän, stimmlich klar und leuchtend, deutlich und schnörkellos ausgestaltet bis ins letzte virtuose Detail, und noch dazu von einer unaffektierten, fesselnden Bühnenpräsenz - ein Sesto wie man ihn sich wünscht!
Badische Neueste nachrichten, 4. Oktober 2005, Wibke Gerking

Marie-Claude Chappuis sang mit feinem, runden Mezzosopran den armen Sesto, der seinen Freund Tito verrät, um Vtellias Liebe zu gewinnen. Zu den schönsten Momenten der Aufführung zählte ihre anrührende, musikalisch differenzierte Wiedergabe der Arie "Parto, parto". Badisches blatt, 4. Oktober 2005, Nike Luber

Aber die grandiose Marie-Claude Chappuis als Sesto hat den grossen Atem für solch weite Bögen.
Trierischer Volksfreund, 11. Oktober 2006, Martin Möller

Interprété par la très virtuose Marie-Claude Chappuis, le rôle avait une fraicheur de sentiments ensorcelante. La cantatrice se montra brillante et bouleversante dans l'air "Parto, parto" où son sens de la mélodie mozartienne faisait merveille.
Luxemburger Wort, 11. Oktober 2005, Hilda van Heel

 


Biennale barocker Weltmusik 36. Ansbacher Bachwoche
"Fränkischer Tag" Gustl Meilenhammer
 
 
„Weltmusik Bach“ steht im Mittelpunkt der 36. AnsBACHWoche 2005.
Am Wochenende hat das im zweijährigen Turnus stattfindende Traditionsfestival rund um die Musik Johann Sebastian Bachs mit Konzerten international renommierter Ensembles und Solokünstler begonnen. von Gustl Meilenhammer
Zum Bachwochen-Auftakt in der Ansbacher Orangerie präsentierte Concerto Köln, ein seit jeher ohne Dirigenten auftretendes Kammerorchester, ein gemischtes Instrumental- und Vokalprogramm unter der Zielsetzung, den von den europäischen Modeströmungen seiner Zeit geprägten Säkular-Komponisten Bach in seiner ganzen Vielfalt zu zeigen. So steht das Brandenburgische Konzert Nr. 2 F-Dur (BWV 1047) für Bachs fantasievollen Umgang mit aparten Instrumentenkombinationen, von Concerto Köln mit seinem Konzertmeister Anton Steck in einer klug kalkulierten Mischung aus virtuosem Dauerfeuer und kontemplativer Versenkung höchst stimmig und stimmungsvoll serviert.
Eine echte Entdeckung ist die aus Fribourg in der Schweiz stammende Mezzosopranistin Marie-Claude Chappuis, deren stimmliche Präsenz und durchdachte Textausdeutung aus der Solokantate „Geist und Seele wird verwirret“ ein kleines Naturereignis machen, emotional und intellektuell mitreißend. Die Gegenüberstellung von Antonio Vivaldis a-Moll-Streicherkonzert Nummer 8 aus dem „Estro Armonico“ (Opus 3) mit Bachs Ouvertüre aus der großen C-Dur-Suite (BWV 1066) bringt dank transparenter Stimmformung und beredter Agogik vor allem die Erkenntnis, wie flüssig und unaufgesetzt Bach französische und italienische Einflüsse in seine eigenen Kompositionen aufnahm, ohne zum eklektischen Nachkomponierer zu werden – der genuine, authentische Tonfall bleibt erhalten.
Martin Stadtfeld zählt zu den interessantesten Vertretern der jungen Pianistengeneration und er debütierte mit einer Aufnahme der Goldbergvariationen, die seither ähnlich kontrovers diskutiert wird, wie Glenn Goulds weltberühmte Fassung. Stadtfeld ist allerdings weniger exzentrisch, orientiert sich durchwegs stärker an den Inhalten der durch ihn gleichwohl in höchst individueller Weise interpretierten Musik.
Sorgsamer Gestalter komplexer Stücke
Stadtfelds Toccata-Programm in der Orangerie hinterlässt den Eindruck eines sorgsamen Gestalters, der komplexe Stücke wie die fis-Moll-Toccata (BWV 910) oder Bachs h-Moll-Ouvertüre „nach französischer Art“ (BWV 831) weit gehend in ihrer Ursprungsgestalt belässt und sich alle Manierismen versagt. Brillant virtuos trumpft er dafür in Schumanns katastrophischer C-Dur-Toccata (Opus 7) und Prokofjews d-Moll-Toccata (op. 11) auf. Hier verwandelt sich der träumerisch sanfte Schmusekater Stadtfeld jäh in einen Tiger mit gefühlten 20 bis 30 Fingern, der sich verströmt, aber nicht verausgabt.
Ganz still und introvertiert wird es beim Cantus Cölln unter Konrad Junghänel in der Johanniskirche: Das Kammer-Vokalensemble hat sich der Musik von Johann Sebastians Vorfahren in der Bach-Familie angenommen und erfüllt jene meist noch der Alten Musik zugehörigen Solokantaten und Lamenti mit viel Leben. Dass sich ein gewisser Eindruck von Erdenferne und Transzendenz einstellt, ist hier wohl gewollt.
Die AnsBACHWoche läuft noch bis zum 7. August. Höhepunkt wird wohl die große h-Moll-Messe sein, die am 6. August in St. Gumbertus aufgeführt wird. Masaaki Suzuki leitet das Bach Collegium Japan, das zu den führenden Bach-Ensembles weltweit zählt.
Friedrich Kraft

...Das Eröffnungskonzert in der Orangerie: ohne Pomp, TV-Aufmarsch und große Robe. Andächtig und fachkundig lauschte das Publikum dem schmal besetzten, differenziert und furios aufspielendem Concerto Köln beim Brandenburgischen Nr. 2, einem Vivaldi und der Bach-Kantate »Geist und Seele« mit der vorbildlich artikulierenden Altistin Marie-Claude Chappuis...



Purcell: Dido & Aeneas
Luzerner Theater, Mai 2005 mit Howard Arman
 
...So kann ich mich den jubelnden Pressestimmen nicht gänzlich anschließen, wenngleich Stephan Müller außer Ideen und Konzepten auch sein Können als Regisseur zu zeigen imstande ist. Und dass Musikenthusiasten die Aufführung, auch in ihren Zusätzen (mit denen der musikalische Leiter des Abends, Howard Arman, die unvollständig überlieferte Partitur fertigstellt), feiern: die Schönheit und Eleganz der Musik von Henry Purcell ist bei Howard Arman und dem Luzerner Orchester in besten Händen, und Ensemble, Chor und Mädchenchor stehen dem um nichts nach, und, um eine hervorzuheben, Marie-Claude Chappuis (die ich schon als Dorabella bewundern durfte) ist eine beeindruckende Dido...

Marie-Claude Chappuis als Dido singt ihren Abschied so herzergreifend, dass die Frage hinfällig ist, woher eine
biedere Pensionatslehrerin solchen Gefühlsaufwand bloss nimmt.
Tages-Anzeiger, 23. Mai 2005, Michael Eidenbenz

Didos Abschiedsarie, von Marie-Claude Chappuis konturenscharf mit zu Herzen gehender Expressivität
gesungen, fällt in ihrer antiken Grösse ins Leere.
NZZ, 21. Mau 2005, Fritz Schaub

Wenn Marie-Claude Chappuis als Dido den finalen Klagegesang anstimmt, dann ist da nichts als diese grossartige, viel zu kurze Musik, ein Lamento, das sich würdig in die Tradition der italienischen Opern von Monteverdi und seinen Kollegen einordnet und das von der jungen Schweizer Mezzosopranistin mit ebenso grossem Stilbewusstsein wie Ausdruckskraft ausgekostet wird.
Südostschweiz, 21. Mai 2005, Reimar Wagner

Ihre grosse Klage über den Liebesverrat des Aeneas ragt freilich dank der schmerzhaft intensiven Gestaltung
durch Marie-Claude Chappuis über allen Szenenklamauk hinaus.
Neue Luzerner Zeitung, 21. Mai 2005, Urs Mattenberg

Marie-Claude Chappuis ist eine junge, ihren Mezzosopran sicher führende Dido.
baz, 21. Mai 2005, Siegfried Schibli
Da Capo
 
"Così fan tutte" Mozart am Luzerner Theater
 
 
  sda. Mit Wolfgang Amadeus Mozarts «Così fan tutte» ist am Samstagabend am Luzerner Theater die Spielzeit unter der neuen Direktion von Dominique Mentha eröffnet worden. Dass Menthas Direktionszeit ruhiger beginnt als vor fünf Jahren jene von Barbara Mundel wurde schon letzte Woche bei der Aufführung der Oper «Der Kaiser von Atlantis» klar. Beide Produktionen verzichten auf bewusste Provokationen und fanden die ungeteilte Zustimmung des Publikums.

Grundsolide Inszenierung
Die Luzerner «Così» ist eine unspektakuläre, aber grundsolide Inszenierung, die dem Theater einen guten Saisonstart garantieren dürfte. Mit einfachen Mitteln bringt das weibliche Regieteam mit Tatjana Gürbaca (Inszenierung) und Ingrid Erb (Ausstattung) Mozarts «Schule der Liebenden» gut verständlich auf die Bühne. Die 31-jährige Regisseurin arbeitet mit einer Einheitsbühne aus drei einfachen Stellwänden, die einen Raum andeuten. Sie verzichtet ganz auf Verkleidungen. Die beiden jungen Offiziere, die sich auf die Wette um die Treue ihrer Freundinnen einlassen, tauchen nicht als unkenntlich gemachte Exoten bei der Liebhaberin des jeweils anderen auf, sondern im Kampfanzug, wie wenn sie gerade aus dem Krieg kämen.

Neue Kräfte
Im Ensemble sind weitgehend neue Kräfte zu hören. Die Westschweizerin Marie-Claude Chappuis ist eine sinnliche und ausdrucksstarke Dorabella, und der Deutsche Gregor Dalal ein stimmlich dominierender Don Alfonso. Ein in Luzern bereits bekanntes Gesicht ist die Schwedin Madelaine Wibom, die als Kammermädchen Despina die Fäden in der Hand hat. Eine Entdeckung ist die junge Griechin Myrto Papatanasiu, die mit ihrem voluminösen, fast dramatischen Sopran den grössten Applaus des Abends erhielt.

Der österreicher Oswald Sallaberger als Dirigent pflegt einen soliden, wenn auch etwas zu verhaltenen Mozart-Stil. Mehr gelebte Spielfreude und das differenziertere Herausarbeiten der Details der Partitur würde die Luzerner «Così» zu einer rundum empfehlenswerten Aufführung machen.
© «Der Zürcher Oberländer» / «Anzeiger von Uster»

...während in den übrigen Partien lauter vielversprechende Neuentdeckungen zu machen sind: Myrtò Papatanasiu als brillante Fiordiligi, Marie-Claude Chappuis als ebenso temperamentvolle wie wandlungsfähige Dorabella, Howard Quilla Croft als resoluter Guglielmo und Gregor Dalal als überlegener Drahtzieher...
"NZZ"

 



 
Autigny
La mezzo-soprano s'empare du Lied et de la mélodie française avec un art consommé.


Souveraine et séductrice, Marie-Claude Chappuis exerce sur son auditoire un pouvoir quasi hypnotique.
Conviées par Elizabeth et Hans Jecklin au château d'Autigny, la mezzo-soprano fribourgeoise et sa pianiste, Breda Zakotnik, régalaient samedi une salle comble d'un copieux festin de Schubert panaché de Fauré.
Les deux musiciennes sont à l'évidence bien accordées, puisant à la même source théâtralité et expressionnisme. Accompagnant la phrase du corps entier, la cantatrice dégage une étrange sensualité de derviche chanteur. Hyperféminine dans sa robe bleu roi. Et pourtant tellement androgyne lorsqu'elle incarne dans un tourbillon de masques l'enfant, son père et la mort, protagonistes du terrifiant «Erlkönig» de Goethe, le Roi des Aulnes mis en musique par un Schubert visionnaire et atypiquement dramatique. Un engagement vocal irréprochable, enrichi par une grande facilité à timbrer, conduit la ligne mélodique dans chaque inflexion. Intense ou spirituelle, Marie-Claude Chappuis habite sa voix dans les moindres recoins. Et en use avec un raffinement abouti.
Charnel jusque dans les allusions implicites d'un «Heidenröslein» scénique, le duo s'allège dans la mélodie française et délivre un Fauré chatoyant, sublime et enfin... simplifié. Un dépouillement expressif qui sied autant au timbre apaisé de la cantatrice qu'au phrasé transparent de la pianiste. Un dernier éclat de rire salue la performance facétieuse de Marie-Claude Chappuis dans «Nous voulons petite soeur» de Poulenc. Et ponctue «La Statue de bronze» de Satie, un bis hilarant où une main gauche décoiffante dévoile les talents cachés de jazzwoman de Breda Zakotnik.

MAP "La Liberté"

Da Capo

 

 



 
Glitzernde Juwelen im Kristallpalast


Marie-Claude Chappuis huldigte der subtilen Kunstform Liederabend in Wattens mit hohem Können
WATTENS hat man Marie-Claude Chappuis mit ihrem edel timbrierten Mezzosopran am Landestheater als Carmen, Werthers Charlotte und stilsichere Monteverdi-Interpretin im "Orfeo" bewundert, so muss man erst ihren Liedgesang erlebt haben, um die Künstlerin in ihrer Ganzheit zu würdigen.

Lyrische Kostbarkeiten von Schubert und Gabriel Fauré erfuhren am Montag in den Kristallwelten jene differenzierte, kultiviert ausgeformte und dabei expressive Gestaltung, die jedes Lied zu einer Geschichte macht, einem kleinen Drama, einer berührenden Träumerei.

Zu Beginn ein seltenes Vergnügen: Schuberts "Ständchen" in Originalfassung für Alt, vier Männerstimmen und Klavier, wozu Marcus Ebner, Ewald Brandstätter, Markus Kluibenschädl und Martin Gauglhofer vokalen Wohlklang beisteuerten. Sensible Partnerin am Flügel war Breda Zakotnik vom Salzburger Mozarteum, in deren Liedklasse sich Marie-Claude Chappuis ihr vorzügliches Rüstzeug geholt hat.

Als Dritte im Bunde knüpfte Angelica Ladurner mit der Kraft des Wortes feine Vernetzungen zwischen Musik und Literatur, zauberte Stimmungen herauf, aus denen die Singstimme so recht erblühen konnte. Es waren klug gewählte und eindringlich gelesene Texte deutscher und französischer Dichter, die in den Liedern ihr kongeniales Echo fanden, wobei die Sängerin in den spätromantischen, vor-impressionistischen Fauré-Chansons sichtlich in ihrem Element war.

Großer Beifall im gut besuchten Kristallpalast.
Jutta Höpfel "Tiroler Tageszeitung"

 

 

 
Monteverdis "L'Orfeo" in Berlin


Opera japonica Japan opera information
Uwe Schneider's Letter from Berlin
..The soloists are first class as well. It is amazing how Jacobs finds those young talents for his productions almost every year. His selling point is not big names, but the energy, joy and - last but not least - artistic quality of an ensemble of young singers. French baritone Stéphane Degout, the spectacular Orfeo of this production, has a well-projected, flexible voice, with warm colours and excellent ornamentation technique. His Euridice, Spaniard Nuria Rial, is a perfect match for him. With her physical presence and a fresh and consistently lovely soprano, she creates a deep and inspiring character. Marie-Claude Chappuis, singing the parts of the Messagiera and Proserpina, impressed with her stylistic authority and the pure beauty of her voice. There are few productions with every role cast to such a high standard; few productions where it is so clear that everybody on stage knows exactly what he or she is doing...

Blickpunkt Musik Saarländischer Rundfunk
Uwe Friedrich

...Nicht nur das Orchester die Akademie für alte Musik, auch die Sänger neben dem äusserst koloraturgewandten Stéphane Degouts in der Titelrolle, vor allem Marie-Claude Chappuis als Messagiera und Nuria Rial in der kleinen Rolle der Euridice machen diese musikalische Zeitreise zu einem Höhepunkt der Berliner Opernsaison...

www.opernnetz.de
...Die Solosänger haben Seele und Schönheit, Nuria Rials (Euridices) Stimmführung nimmt jeder Verzierung die Manier, lässt sie "einfach" innig werden, so dass man als Hörer schon mal in sich hineinseufzt, Stéphane Degouts Orfeo hat vermessene Kraft und doch auch von allem Anfang an orphische Elegie, und Marie-Claude Chappuis's Proserpina ist wirklich unterweltliche Stimmgöttin... - nein, musikalisch gibt es hier gar nichts zu meckern...

www.morgenpost.berlin.de
...Orpheus ist eine Riesenrolle für einen baritonalen Bass. Die der Euridice, von der zauberhaften Nuria Rial verkörpert, ist dagegen im Grunde unstatthaft mager. Deshalb fällt Euridice mit Recht zusätzlich der verkündende Part der "Musica" zu. Wer möchte Nuria Rial schon missen? Auch Marie-Claude Chappuis darf sich in zwei Rollen vorstellen. Sie singt zunächst die überbringerin der bitteren Todesbotschaft, später als Proserpina die Botschaft vom zurückgewonnenen Leben, beides wohllautend und gleichzeitig eindringlich. Carlos Mena und Topi Lehtipuu fügen sich der Aufführung vorbildlich ein. Sie erstürmt, jung und knusprig, Bewunderung: "L'Orfeo" - eine Jubilate ringsum...

Nürnberger Nachrichten 20.01.200, Lorenz Tomerius
Betörende Schäferspiele in barocker Brillanz
 ....Musikalisch sind die zwei pausenlo­sen Stunden mit den im Raum verteilten Klangkörpern, zumal mit Sté­phane Degout in der Titelrolle, mit Nuria Rial (La Musica, Euridice), Marie-Claude Chappuis (Proserpina) bewegend, mitreißend, anrührend...

Albrecht Thiemann
...Wie auch die beiden Continuogruppen, die links und rechts der Bühne postiert sind, das (himmlische) Streicherensemble hinten, die Höllenmusiker im Graben und die Fanfarenbläser auf den Rängen, die sich unentwegt in das Geschehen einmischen. 
Ob sie nun Marie-Claude Chappuis' warmen Proserpina-Mezzo tragen, wenn sie bei Pluto (mit sonorer Schwärze: Antonio Abete) ein gutes Wort für Orpheus einlegt; oder wenn sie helfen, den Fährmeister Charon (Paolo Battaglia) in Schlaf zu versetzen, um dem Sänger Zutritt zu Eurydike zu verschaffen. Abtreten müssen sie alle. Obwohl das Ganze wirklich perfekt klingt. Unwiderstehlich und ergreifend, als seien wir dem Himmel ganz nah...

 

 

 
Monteverdis "L'Orfeo" in Innsbruck


Der Menschheit Muttersprache; Platonisch, erotisch, zauberisch und ganz uneitel.
von Ulrich Weinzierl
... Erstklassig auch das übrige Solistenensemble - an der Spitze Marie-Claude Chappuis als Unglücksbotin und Proserpina. Ihr warmer Mezzosopran erweicht nicht nur dem gestrengen Gatten Pluto das Herz...
Berliner Publikum darf sich auf einen zauberischen Abend freuen, auf den Triumph uneitlen Musiktheaters. 

Ein Fest für Monteverdi
Die Presse
...mit verblüffender Flexibilität hebt die Schweizerin Marie-Claude Chappuis die verzweifelte Härte der Todesbotin von den schmeichlerischen Mezzotönen der Proserpina ab...

 

 

 
CARMEN 


Geradezu sensationell gut war Marie-Claude Chappuis als Carmen: ein hinreißend fesches Weib mit markant-rassigem Profil, einer exzellenten französischen Diktion beim Sprechen und Singen (es wurde die Dialogfassung gegeben), einer aufregend expressiv und verführerisch eingesetzten prächtigen Stimme ohne Brüche und Höhenprobleme, und eine in ihrer verhaltenen Aggression, aber auch sprühenden Lebensfreude und gefassten Akzeptanz ihres Schicksals fesselnde Zigeunerin, die das Publikum total auf ihre Seite zog. Die dem Innsbrucker Ensemble angehörende französische Schweizerin hat hier sichtlich die Rolle ihres Lebens gefunden!...

...Beide Mezzo-Heroinen wären in diesen Rollen geradewegs an die Wiener Staatsoper transferierbar!...
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CHANT
Mozart - Schubert - Brahms - Bizet
 
  Technique impeccable
...N'utilisant que le piano moderne, Breda Zakotnik est une accompagnatrice parfaite. Elle connaît intimement chaque Lied, sait se faire discrète ou se mettre en relief exactement quand il faut. La pianiste campe des décors idéaux qui permettent au mezzo de Marie-Claude Chappuis de se mouvoir naturellement dans chaque page. Egalement instigatrice et directrice artistique du festival, la cantatrice fribourgeoise, grâce à une technique impeccable, réussit avec bonheur à instiller des atmosphères sonores très diversifiées d'un Lied à l'autre, de Mozart à Schubert. Dans les quatre duos op.28 de Brahms....
...C'est là que Breda Zakotnik, vraiment dans son monde, déploie le plus ses compétences musicales. Le son rond et sensuel du violoncelle de Heidi Litschauer se joint à la pianiste et au mezzo pour Zwei Gesänge op91 de Brahms, chantés avec une touchante simplicité. Pirouette stylistique pour le bis, avec Les adieux de l'hôtesse arabe de Bizet. Marie-Claude Chappuis y donne toute la veine lyrique dont elle est capable, nous gratifiant de notes graves à donner le frisson autant que d'aigus fort bien placés...  TD "La Liberté" Fribourg

 

 

 

 

 
Tiroler Landestheater spielt Rossinis 
"Un turco in Italia"


Wenn Gioacchino Rossini einen Türken in Italien an Land gehen lässt, dann sind dessen Eroberungsziele rein amouröser Natur.

(APA) - Zur spritzig-virtuosen Musik seiner Buffooper "Un turco in Italia" von 1814 rankt sich ein harmloses Spielchen von Liebe, Ehe und Eifersucht, das gestern, Samstag, Abend, im Großen Haus des Tiroler Landestheater in italienischer Sprache mit deutschen übertiteln viel Vergnügen bereitete.

...Vor allem sind es die anspruchsvollen Gesangspartien mit ihren bravourösen Koloraturen, die das Publikum immer wieder zu Szenenapplaus hinreißen, bietet die Produktion doch dafür flexible Edelstimmen und komödiantisch begabte Sängerschauspieler auf. Regisseur und Ausstatter Nigel Lowery erweist sich auch in seiner dritten hiesigen Produktion als witziger Szeniker, dem diese Buffa wie aus einem Guss gelingt: mit einer prächtigen, märchenblauen Fünfstern-Meeresküste aus dem Reisekatalog, aus dem die Drehbühne die Zuschauer immer wieder in die 0815-Nüchternheit einer billigen Neubauwohnung transportiert... ...Anlass der Zerrüttung ist nicht nur der zwischen den "Fronten" aufgeriebene Hausfreund Don Narciso - Marwan Shamiyeh amüsiert mit tenoralen Racheschwüren - , sondern vor allem der "Türke" Selim, der in Luciano Miotto einen komödiantisch lockeren und sängerisch brillanten Darsteller hat. Er wiederum ist hin- und hergerissen zwischen der blonden Fiorilla und seiner früheren Liebe Zaida, der die schöne Marie Claude Chappuis ihren zur erfolgreichen Rückeroberung bestens geeigneten, verführerischen Mezzosopran leiht. Als Dichter spielt Robert Merwald den buffonesken Beobachter und Vorantreiber der Handlung. Den Party-Background bildet der von Claudio Büchler betreute Herren-Chor, der sich galant um die von Nigel Lowery so gern verwendeten Barbiepuppen schart...
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